Nom : Palecolm - Prénom(s) : Atlas Gabriel  Âge : 48 ans  Date et lieu de naissance : 2 Janvier 1965 Nationalité : Franco-polonaise  Situation sociale : Bourgeoise  Sexualité : hétérosexuel Vie amoureuse :  veuf  Emploi, études : J'ai fais de longues études scientifiques étant jeune, mathématiques pour être plus précis. J'ai ensuite fais diverses expériences, premièrement dans la manufacture, puis j'ai tenté l'armée, je me suis essayé à l'élevage et désormais je suis tabasseur pro...


Pourquoi avez-vous décidé de venir à Yellowsky ? Pourquoi venir à Yellowsky ? J’avais d’autres opportunités ailleurs. Ce sont des rencontres, une, puis deux… qui m’ont rappelé quelque chose qui était en moi, ancré en moi depuis bien longtemps, une chose dont je me désintéressais totalement à l’époque et qui aujourd’hui m’a poussé à venir ici. Retrouver certaines personnes, peut être renouer qui sait ? Revoir ou voir des personnes qui sont censées être chers à mes yeux et à mon cœur…

Et votre particularité, c'est quoi ? Je pense que ma candidature n’est pas sorti du lot grâce à ma sensibilité dans l’écriture ou même par son originalité. Je ne suis pas littéraire, au contraire. J’ai toujours eu un don, cette passion pour la logique des mathématiques. C’est donc, sûrement, mon côté droit et linaire qui a été apprécié lors de la lecture de ma fiche. Logique dans la pensée, je sais utiliser mon cerveau mais également très bien mes mains qui manient toutes sortes d’outils, je suis un as du bricolage en tout genre, comme on dit je touche ma bille.

Comment vous définiriez-vous ? A dire vrai je ne suis pas un père exemplaire, et au final je m’en suis peu soucié pendant longtemps. Je ne suis pas quelqu’un avec une grande sensibilité, je ne vais pas pleurer pour rien ça c’est sûr. Je ne dirais pas que je suis le contraire de quelqu’un qui aurait un grand cœur mais presque, on va dire que cela se rapproche, bien qu’il m’est arrivé d’éprouver de la passion et beaucoup d’affection pour certaines personnes, je suis peut être froid voire glacial mais pas insensible tout de même, je suis même passionné envers des choses ou des personnes. Je ne cache pas cette partie de moi, je donne beaucoup à ceux dont j’ai envie et à ceux qui me touchent particulièrement.
Je suis également très logique et droit dans ma façon de penser, c’est ma passion pour les maths et le bricolage, des domaines dans lesquels j’excelle vraiment. Ma froideur et ma grande exigence doivent venir également de ce côté très linéaire de moi, un exemple de mon côté exigent ? Je ne supporte pas les personnes en retard, moi même je suis toujours à l’heure quand il le faut et où il le faut. Dans la même idée je fais le travail qu’on me demande, j’accompli ce qui doit être fait, il n’y pas d’embrouille de ce côté là. Cependant cela marche pour le travail mais du côté de mes responsabilités c’est autre chose, j’ai plutôt tendance à les fuir…
Par ailleurs, je suis (malheureusement pour vous) une personne à sang chaud et assez violente, un côté que j’ai du mal à contenir, même si mon petit passage à l’armée et mon travail m’ont permis de me modérer légèrement. Gare à vous si vous m’énervez, je sais rester gentleman dans certains moments mais les coups peuvent partir très vite. De plus je suis, pour en rajouter une couche, un adepte du tabac et de la bouteille, même si sur l’alcool j’arrive à modérer un peu. Malgré cette mauvaise image, je suis un homme qui garde une certaine classe, une certaine prestance, un côté gentleman, chic voire précieux.

« -Euh….Hector je crois que ce nouvel an, on ne le passera pas avec la famille …
-Qu…quoi ?! Déjà ? »
Je vous présente mes parents, le jour du nouvel an, Hector Palecolm et Natalia Palecolm, et celui qui les a empêché de passer le nouvel an en famille c’est bien moi. J’ai eu la gentillesse de naître dans la nuit du 2 Janvier avec un mois d’avance. Je suis né en Pologne, à Varsovie, dans une famille franco-polonaise juive avec un frère comme aîné. Tous, nous entretenions une très bonne relation avec chacun. Mes parents étaient aimant avec nous, ma mère était très tendre avec mon frère et moi tandis que mon père était plus un père qui aimait jouer avec nous et faire toutes sortes d’activités, il nous aidait à construire des cabanes, à aller pêcher…Mon père était un brillant ingénieur ce qui permettait à notre famille de vivre correctement, et notre déménagement en France vers mes 5 ans n’y avait rien changé.

J’ai habité longtemps dans ce pays, je m’y sentais chez moi à cette période, c’est là où j’ai grandi, où j’ai connu tout un tas d’expériences dans ma vie. C’est aussi là où j’ai pu commencer à avoir mon indépendance, à avoir mon propre logement, à faire mes études de mathématiques, un domaine ou je me suis épanoui depuis tout jeune. J’avais appris à construire tout un tas de choses grâce à mon père, et j’ai fusionné cette activité avec ma logique hors pair de mathématicien, d’où mon don aujourd’hui pour les sciences et le bricolage aujourd’hui… C’est aussi dans ce pays que j’ai perdu mes parents, plutôt jeune. Ils sont partis chacun leur tour à quelques mois d’avance. Les perdre m’a à vrai dire bouleversé, ils ont toujours été des parents formidables et admirables. C’est après cet événement, quelques mois plus tard que j’ai décidé de partir dans le sud de la France, pour trouver du travail entre autre.

En quelques jours j’avais trouvé du travail, tant bien que mal… Ce n’était pas grand-chose, et je le sentais dans mon style de vie qui changeait, je passais de la classe moyenne à presque misérable. Mais j’avais dans ma vie quelqu’un qui m’égayait mes jours et me soutenait, une femme que j’avais rencontré peu de temps après mon déménagement, une voisine de mon appartement, elle habitait un étage au dessus, ce qui m’avait permit de la croiser souvent et de la voir régulièrement. Cette femme s’appelait Eurydice, je l’a trouvais chaque jour plus rayonnante à chaque fois que je la voyais, plus belle, plus charmante… Il ne fallut pas longtemps pour que je succombe à sa beauté et à sa douceur, à son rayonnement, et je pense qu’elle non plus n’avait pas été insensible à moi, ses regards et ses attitudes me le laissaient penser tout du moins. Au bout de quelques semaines elle emménagea avec moi dans un autre appartement, plus grand, assez grand pour quelque chose que je n’avais pas prévu aussi vite d’ailleurs …  Au bout de quelques mois de relation Eurydice m’apprenait qu’elle attendait un enfant et à cette nouvelle je n’eus pas la réaction qu’elle attendait. Pour moi être père n’était que contraintes et responsabilités, je n’avais jamais éprouvé le besoin et surtout le désir de faire des enfants. En plus de cela je perdais mon travail. Je n’avais jusqu’à ce jour jamais ressenti une telle chute aux enfers, trop de choses s’accumulaient. Trop de pression m’oppressaient et pour oublier cela je ne trouvais rien d’autre que l’alcool et la surconsommation de tabac. Ma femme pensait que la naissance de notre fils Artémis allait changer quelque chose, à l’inverse ça me plongea encore plus dans ma dépression et accentua de la violence. Rien ne m’attirait dans mon nouveau statut de père, même le voir grandir ne m’intéressait pas. Ma motivation à trouver du travail était déjà en berne et cette nouvelle situation n’aidait pas, et en plus de cela j’apprenais que quelques mois après j’allais être de nouveau être père…

C’en était trop, à la naissance de ma fille Antigone je décidais de fuir tout cela, j’avais le besoin de retrouver seul et de vivre autre chose. Je laissai seule ma femme Eurydice que j’avais pourtant aimé passionnément mais dont je devais me séparer pour une nouvelle vie. De là, je n’avais même pas pensé aux enfants dont elle devait s’occuper et le lourd poids d’être mère célibataire. Je parti seul pendant 5 ans au Tibet, je découvrais une nouvelle culture et j’apprenais à redevenir un peu plus serein, mais n’y trouvant pas mon compte je décidai de m’engager dans l’armée pendant 3 années, cela m’avait permis de faire des rencontres dont je n’oublierai jamais et qui d’ailleurs je vois encore aujourd’hui, de plus cela m’a permis de canaliser un peu ma violence.

Après ce bref passage dans l’armée, je parti à la découverte d’un autre continent, l’Océanie, en Australie plus précisement, dans un coin reclus des grandes villes australiennes et me mit à l’élevage de bovins et chevaux. Cependant je n’y trouvai pas mon compte dans ce métier, j’avais encore de la violence en moi, ce qui se reportait soit sur mes bêtes ou soit parfois sur les employés. De nouveau je parti seul en Europe, en Allemagne, à l’aube de mes 35 ans. Je découvris là-bas un job qui me convenait tout à fait, tabasseur. J’étais tout simplement engagé par un patron, parfois différent, qui ne voulait pas se salir les mains. 5 ans plus tard je décidais de faire mon retour en France, ce pays ou j’avais fui ma famille quelques années plus tôt. A mon retour je ne m’étais pas vraiment soucié de retrouver ma femme et mes enfants, c’était le cadet de mes soucis. Je fis très rapidement la rencontre d’un homme, Voltaire, avec qui j’ai pu faire des affaires et qui pour me remercier m’envoya une jeune fille dénommée Pandora. Pas que cette fille me répugnait, bien au contraire, étant un homme assez libre j’aimais en profiter, mais cette jeune fille m’était donné comme un cadeau que je ne pouvais refuser à cause de son trop jeune âge. Ce n’est pas que j’aime les femmes mûres, la jeunesse m’a toujours attiré, mais là c’était vraiment trop, elle semblait être un bébé pour moi, un bébé qui aurait pu être le mien… Je refusai ses avances et préférais simplement discuter avec cette jeune fille.

Vers 45 ans, je parti faire un bref voyage en Russie, de la, je trouvais un nouveau patron d’une boîte de strip tease pour qui travailler quelques temps. Dans la boîte, je sympathisais avec une charmante jeune fille qui s’appelait Anthéa, une des strip teaseuse de la boîte. Etant jeune et frêle, elle ne pouvait se défendre contre les hommes trop avenants à son égard, et ne pouvant supporter cela, je lui venais en aide quand elle en avait besoin. Mais je compris qu’il était temps que je rentre en France très rapidement. A 48 ans, je rentrai à Paris, et alors que je ne pensais plus revoir la jeune Pandora, je la croisai de nouveau. Pensant qu’elle allait contente de se revoir, il en fut tout le contraire, car à l’inverse d’une embrassade amicale je me pris une gifle et un vent. Sur le coup je ne comprenais pas se qui venait de se passer. Cette claque, ça aurait pu être ma fille du même âge qui aurait pu la mettre. Cette idée tourna dans ma tête et me bouleversait, je n’avais plus qu’un objectif, c’était de retrouver mes enfants qui se trouvaient apparemment à Yellowsky, advienne que pourra…

Pseudo : Queenoire Identité : femme Âge : 22 Type de personnage : scénario de A. Erwan Palecolm Comment avez-vous découvert le forum ? Paternariat de forum Quelle sera votre fréquence de connexion ?difficile a dire, mais il faut tenir compte que je suis étudiante et que je suis maman également, donc au moins quelques visites par semaines et 1 réponse de rp par semaineComment définiriez-vous le forum, là, à chaud ?  Très beau ! très conviviale