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PRIMROSAE ๑ « si tu veux, je t'offre un neurone. »

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B. Primrosae Blueberry
B. Primrosae Blueberry



kftw
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arrivé(e) le : 24/04/2012
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PRIMROSAE ๑ « si tu veux, je t'offre un neurone. » Empty
MessageSujet: PRIMROSAE ๑ « si tu veux, je t'offre un neurone. » PRIMROSAE ๑ « si tu veux, je t'offre un neurone. » EmptyJeu 3 Mai - 20:06



Birdie Primrosae Blueberry
« Knowledge for the win for ever, featuring Doutzen Kroes »


welcome, dude !

Nom : Blueberry - Prénom(s) : Birdie Primrosae - Âge : 24 ans - Date et lieu de naissance : le 21/03/1986 à Órán Mór, Irlande - Nationalité : Irlandaise - Situation sociale : bourgeoise - Sexualité : hétérosexuelle (ou peut-être bouquinsexuelle, allez savoir) - Vie amoureuse : célibataire, paix à son âme - Emploi, études : prépare sa thèse en botanique à l'université de Londres.


Pourquoi avez-vous décidé de venir à Yellowsky ? Je me souviens du jour où mon père m'a dit qu'il fallait que je me prenne en main, que je cesse de vivre enfermée et que je découvre un peu le monde -je veux dire, le monde au-delà du portail de la maison. C'était une épreuve pour moi parce que j'ai toujours grandi et évolué seule comme une recluse, vous voyez le genre. Quoi qu'il en soit, c'est grâce à ma sœur cadette et à mon grand frère que j'ai découvert Yellowsky. Apparemment, c'était le sujet d'exposé de ma sœur ; je pensais qu'elle avait tout inventé -genre je-me-fais-un-monde-virtuel- pour se la péter devant ses amis mais en réalisant que ce quartier existait bel et bien, je me suis sentie... Bizarre. Un peu jalouse d'elle parce quelle savait tout sur ce truc et moi pas, alors que je suis la plus intelligente de la famille. Bref, j'ai mené des recherches dans mon coin jusqu'à ce que mon fouineur de frère ne me grille. Et, surprise, il m'a encouragée à postuler ; il m'a d'ailleurs aidée à faire mon dossier -en bon roi de l'informatique qu'il est- et je ne pourrai jamais assez l'en remercier. Yellowsky représentait une porte de sortie pour moi à ce moment-là ; je n'avais jamais eu beaucoup d'amis ni de réussite concrète en Irlande, et puis Londres, franchement... On ne cracherait pas dessus, hein. C'est un peu le destin qui m'a mise face à cette possibilité d'avenir mais malgré toutes les difficultés qui suivirent ma candidature, je n'ai jamais regretté. Ce quartier avait tout pour me plaire et je le savais, je pourrai enfin y mener une vie de rêve et faire valoir mes capacités intellectuelles. Vous savez tout.

Et votre particularité, c'est quoi ? Sincèrement, et sans vouloir paraître prétentieuse ou quoi que ce soit du même genre, je pense avoir le QI nécessaire à n'importe quoi. Je retiens tout ce que je lis, je suis capable d'apprendre à jouer d'un instrument en un temps record et j'ai toujours envie d’assouvir ma curiosité maladive en matière de connaissances. Du coup, je corresponds à ce que l'on attend des futurs résidents du quartier. Je suis également prête à cirer les pompes de celui ou celle qui me dira oui, dans l’hypothèse ou cette personne l'accepte -je ne suis pas vraiment manuelle, chacun son domaine. Bref, tout ça pour dire que depuis que je suis gamine, je rêve d'être quelqu'un, d'avoir un rôle à jouer sur Terre. Je pense que mon heure est venue, voilà tout. En plus de cela, je joue du violon depuis que j'ai quatre ans ; autant dire que je me débrouille bien dans ce domaine que j'adore, ce qui ajoute un petit bonus à ma candidature.

Comment vous définiriez-vous ? Je suis le genre d'individu que l'on ne comprend pas, ou que l'on ne veut pas comprendre. Je ne saurai même pas par où commencer. Associable, renfermée, je ne fais confiance à personne et j'ai une tendance poussée à éviter toute présence humaine. Je ne m'attache pas, je n'aime pas, je reste placide vis-à-vis de tout rapport humain possible. En vérité, je ne comprends pas comment on peut tisser des liens. Je vis pour moi, et c'est tout ; bien sûr, j'ai envie de rendre ma famille fière, mais ça s'arrête là, vous voyez ? Je suis d'une curiosité maladive, mais uniquement en ce qui concerne le monde. Pas les gens. Je me fous de savoir que ma voisine couche avec un vieux ou que les gosses de mes collègues ont une angine. Tout ce qui m'intéresse, c'est de savoir pourquoi nous vivons, comment nous le faisons. Mais je ne pense pas être une mauvaise personne. Simplement, je me cache pour ne pas souffrir. Je n'ai jamais connu l'amour, je n'ai jamais été aimée ou même séduite. Sûrement parce que je ne sors jamais de chez moi et que je ne prends pas la peine d'essayer de connaître les gens... Mais je m'en fiche. Cela n'a aucun importance à mes yeux. Malgré tout, j'ai des amis ; ils sont rares, mais ils sont bons. Je suis quelqu'un de généreux une fois que j'ai confiance et je serai prête à tout pour faire le bonheur de ceux qui m'entourent. J'aime mes livres comme j'aime mes parents, je ne sais pas faire de distinction entre les degrés d'amour. C'est un réel souci, je l'avoue. Je suis idéaliste et passionnée, butée, sauvage et possessive. Tout ce que j'ai, je veux le garder et je ne veux pas le donner. Il paraît que j'ai une certaine forme d'humour, un brin caustique toutefois... Mais on s'y fait, croyez-moi. Timide ? Oui, probablement. Mais j'aime la vie et j'aime apprendre et je sais qu'un jour, je finirai pas sortir de mon cocon pour connaître l'amour vrai, les sentiments fous et le bonheur complet.


tell me your story

« Tu ne feras pas un truc pareil. » Je relevai la tête, plissai les yeux comme un chat piqué au vif et le toisai. « Quel truc ? », répondis-je, méfiante. Il sourit et j'eus très envie de le gifler. « Tu n'oseras pas la laisser me voler à toi. » Je ne souriais déjà pas avant mais là, je passai carrément au négatif. J'avais très envie de lui cracher à la figure mais je me retins. J'avais un minimum d'éducation, pas comme ce rustre. « Je ne vois pas de quoi tu parles. Pousse-toi de ma route. » Je saisis ma pile de bouquins et le bousculai sans ménagement afin qu'il me laisse passer. A ma grande surprise, il s'effaça et je l'entendis soupirer. Je pressai le pas, essayant de mettre le plus de distance possible entre lui et moi. Ce mec était vraiment trop bizarre, non ? « Prim, attends ! » Je haussa les yeux au ciel, ne faisait pas mine pour autant de ralentir. Il me rattrapa, me saisit le bras et m'obligea à lui faire face. « Prim, tu ne peux pas toujours fuir tes responsabilités. Il faut que tu... » « Mes responsabilités ? Mais quelles responsabilités ? Tu ne m'appartiens pas à ce que je sache, et je ne compte pas t'appartenir non plus » éructai-je méchamment. Oui, j'ai toujours eu un don certain pour en mettre plein la gueule. Il me relâcha et recula, visiblement blessé. Il se passa une main dans les cheveux avec un nouveau soupir et finit par hausser les épaules. « Très bien, alors je suppose que ça veut dire qu'on en reste là ? Tu préfère me voir partir avec elle plutôt que de te battre pour me garder ? » Je le fixai sans mot dire, comme si ce qu'il disait me passait bien au-dessus de la tête. A y réfléchir, oui, c'était le cas. Je fis mine de me tâter avant de lâcher d'un ton tranchant : « Oui, c'est absolument ce que je veux. Puisque tu n'as pas été capable de garder tes couilles dans leur sac, je suppose qu'il est préférable pour moi de ne pas m'attarder avec un déficient mental de ta catégorie. Ce n'est pas à moi d'assumer tes erreurs, ah, c'est la meilleure. » Je le plantai là sans le moindre remord et quittai la bibliothèque, la tête haute et l'esprit presque tranquille.

Vous voulez savoir pourquoi il a été voir ailleurs ? Moi aussi. Sûrement parce que je n'avais pas assez de temps à lui consacrer. Bref, il l'a fait, et il osait me demander de faire des efforts pour le garder. C'était bien la preuve qu'il me connaissait mal parce que j'avais vraiment autre chose à foutre que de minauder à ses pieds pour le supplier de rester avec moi. Bon débarras, de toute façon il était stupide comme pas possible. Oh, non, n'allez pas croire que je suis une asociale, que je colle les gens dans des cases ou que je prends plaisir à les martyriser. C'est faux. Je préfère juste prendre le temps de m'attacher à ce qui en vaut la peine et en l'occurrence, lui ne faisait pas partie de mes priorités. Je n'ai jamais eu beaucoup de succès avec les hommes de toute façon. Je pense que c'est parce qu'il se sentent menacés en voyant que je vois toujours clair dans leur petit jeu et que je ne suis pas aussi naïve qu'ils le voudraient. Parfois, j'aimerai être la dernière des connes pour ne pas avoir à souffrir. Mais bon, on ne se refait pas. D'après mon père, j'ai toujours été une fille éveillée. J'ai un an de moins que Diarmuid et il paraît que nous avons appris à marcher en même temps. Sûrement parce qu'il est né avec un baobab dans chaque main -et du coup dans chaque pied. Je suis pourtant très proche de mon frère, n'allez pas croire le contraire. D'ailleurs c'est grâce à lui que je suis à Yellowsky. Et aussi un peu grâce à Géileis, ma soeur cadette. Je suis l'enfant du milieu mais je n'en ai pas souffert, c'est beaucoup plus cool que ce qu'on raconte, je vous assure. Bref, tout ça pour dire que mes parents ont toujours été surpris de mes grandes capacités intellectuelles, allant jusqu'à me faire consulter des psychologues pour être sûrs que j'étais normale. Si, si.

J'adore apprendre, j'adore me tuer au travail et avoir des cernes sous les yeux à force d'étudier. Avant de connaître Londres, c'est à peine si je quittai ma chambre tant j'étais absorbée par mes études. Un truc effarant, d'après mon frère qui essayait tant bien que mal de me caser avec tous ses amis histoire de me "montrer ce qu'est la vraie vie". A côté de cela, il y a le violon. Déjà vingt ans que j'en joue et pourtant j'ai l'impression que je ne cesserai pas de m'améliorer. J'ai déjà donné de petits concerts en Irlande mais j'ai du mal à partager mes passions avec autrui ; du coup je les garde pour moi et je ne joue du violon que pour ma famille. Enfin, je ne jouais. Ils sont restés en Irlande... Oui, ils me manquent. Je ne suis pas dénuée de cœur, vous savez. Je le protège juste des imbéciles qui pensent pouvoir jouer au ping-pong avec.

« Salut Prim ! T'as besoin d'aide pour tes bouquins ? T'as encore vidé la bibliothèque à ce que je vois... » J'étais si absorbée dans mes pensées que je n'avais pas vu que je n'étais plus seule. J'arrivais dans ma rue les bras chargés, des crampes aux doigts mais le coeur battant à l'idée de tout ce qui m'attendait dans ses livres. Il me restait encore une année pour achever ma thèse de botanique aussi prenais-je du temps pour ma culture personnelle. « Tu m'entends ? » Je sursautai et croisai le regard amusé d'une de mes amies et voisine. Je rougis, gênée d'être à ce point paumée dans mon univers. « Ah, salut. Oui, je veux bien un peu d'aide, c'est gentil. Tu n'as qu'à entrer, j'ai acheté des petits choux ce matin. » « Oh, tu sais comment parler aux femmes ! Ca marche. Tiens, donne moi celui-là. Vie et comportement du renard roux... Sérieux, Prim, il faut que t'arrête. Tu vas devenir chèvre avec tout ça. Ou renard, plutôt. » J'éclatai de rire tout en ouvrant la porte de chez moi. Petite maison sympa, dommage que j'y sois seule. Enfin. Je déposais ma pile de bouquins sur la table de la salle à manger et m'affalai un instant sur le divan, les yeux clos. Il faisait atrocement chaud, et pourtant on était à Londres. Allez savoir. « T'as l'air crevée. Ca a été cet aprem' ? » Grognement. « Super, je l'ai largué. » Silence. « Pourquoi ? » Soupir. « Est-ce que j'ai une tête à rester avec un gars qui baise toutes mes copines ? » Éclat de rire général.

Oui, je suis sociable. J'ai de très bons amis, peu mais ça me suffit. De toute façon, je n'ai guère de temps à consacrer à tout cela ; entre ma thèse, le violon et la vie du quartier, j'ignore parfois où donner de la tête. Mais je le vis bien. Depuis cinq ans que je vis à Yellowsky, j'en apprends sans cesse de bonnes sur ce qu'est la vraie vie, comme dirait mon frère. Je suis sûre qu'il se plairait ici, franchement, cet endroit est un vrai bijou. Si on met de côté la directrice qui me paraît pour le moins bizarre -je dis ça parce qu'elle ne se manifeste que pour nous rabrouer dans la majorité des cas-, les gens un peu tarés qui sont en quête d'un truc improbable... Je me sens chez moi. J'ai eu un peu de mal à m'adapter, surtout parce qu'ici rien ne ressemble à l'Irlande. Alors que c'est la porte à côté, mais bon. J'ai réalisé que je pouvais être populaire dans mon genre ; auparavant, j'étais toujours seule parce que les autres me jugeaient sur mon intellect. Aujourd'hui, je plais pour mes capacités et j'aime ça. N'allez quand même pas vous imaginez que tout le monde est à mes pieds, hein. C'est pas mon truc.

Que pourrai-je vous dire de plus sur moi ? Vous savez presque tout. J'ai eu une enfance normale, heureuse, mes parents sont géniaux et même si ma soeur me taxe mes fringues, je l'aime bien quand même. Je n'ai rien fait de spécial dans ma vie à part étudier, jouer à la vampire dans ma chambre aux volets clos, m'isoler du reste du monde et développer mon art du violon. J'aspire à la perfection, j'aimerai tout savoir et tout gérer. Je sais bien que cela relève de l'impossible m'enfin, j'aime bien ça, les défis. Vous voyez le style. D'autant plus que je sais que ma vie ne fait que commencer. J'ai eu la chance d'être acceptée ici et je compte bien y rester, je pense que Londres est l'endroit rêvé pour se découvrir soi-même et se remettre en question. Je n'ai besoin de personne pour être heureuse, mais force est d'admettre que parfois, l'envie d'être choyée et aimée me taraude. C'est un brin compliqué, d'être dans ma tête. Je ne pense pas être prête à donner amour et confiance à qui que ce soit et pourtant j'en rêve. Je vous le dis, les livres sont bel et bien les seuls amants que l'on peut s'autoriser.

« Ils arrivent bientôt, tes choux ? Je meurs de faim, moi ! » Encore tirée de mes pensées. Finalement, c'était peut-être mieux comme ça. Je n'ai jamais été quelqu'un de réellement jovial malgré mon sens de l'humour qui, parait-il, est plutôt cool. Je me souviens qu'à l'école je ne faisais rire personne et de toute façon je n'en avais pas l'envie. J'étais l'intello, celle sur qui on pompe mais qu'on n'oserait pas inviter à un gouter d'anniversaire. N'ayez pas pitié, moi je trouvais ça chouette : ça me laissait plus de temps pour réviser. Chacun son truc, les copains. Il n'empêche que je ne remercierait jamais ma soeur qui m'a fait connaître Yellowsky. Et dire qu'au début je n'y croyais pas ! Peut-être que je devrai lui envoyer des nouvelles plus souvent. Ou peut-être que je pourrai réussir à la convaincre de venir s'installer ici, avec Diarmuid. On sera bien à trois dans ma baraque, ce n'est pas la place qui manque. Je vais y méditer. « Aaaaaah, je meuuuuurs ! » Je soupirai. « C'est bon, ça vient, ne claque pas maintenant ! » Probablement qu'on les reconnaît à cela, les gens qui comptent vraiment. Sans vous, ils ne sont pas grand chose.


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Pseudo : oh tzitzitlini ! - Identité : lamas à trois têtes, peut-être femme par moments néanmoins PRIMROSAE ๑ « si tu veux, je t'offre un neurone. » 2673333832 - Âge : ici - Type de personnage : inventé, muhéhé - Comment avez-vous découvert le forum ? je ne sais pas, je pense que tout ceci est l'oeuvre d'un génie qui un jour s'est glissé das mon cerveau pour me dire de créer cette folie qu'est Nitwit PRIMROSAE ๑ « si tu veux, je t'offre un neurone. » 3472734492 - Quelle sera votre fréquence de connexion ? tous les jours, on est addict ou on ne l'est pas èé - Comment définiriez-vous le forum, là, à chaud ? je l'aime plus que tout PRIMROSAE ๑ « si tu veux, je t'offre un neurone. » 258157067


Dernière édition par B. Primrosae Blueberry le Ven 21 Sep - 7:54, édité 6 fois
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