Nom : Mcquillan-Rhett, de ma mère. En arrivant ici, j'ai décidé de changer complètement de vie et aussi, comme je n'ai jamais aimé mon père, autant me débarasser de son nom honteux et porter celui de ma charmante mère. - Prénom(s) : Eden Skyler, enfin, je l'ai un peu modifié. Si jamais mon ex me cherchait, il serait trop dangereux de garder mon vrai nom. Alors voici mon nouveau, le nom sous tout ceux de cette ville vont me connaître. - Âge : Vingt-cinq ans. C'est probablement la seule chose que je n'ai pas changé à mon identité. - Date et lieu de naissance : 5 janvier 1988 à Manchester, mais je dis à tout le monde que je viens de Bristol.  - Nationalité : Britannique. - Situation sociale : Entre la richesse et la pauvreté. - Sexualité : Hétérosexuel - Vie amoureuse : Célibataire, enfin débarassé d'un poids sur mes épaules et à la fuite de ce poids. - Emploi, études : Pédiatre, ça cependant j'ai un vrai diplôme pour vous le prouver.


Pourquoi avez-vous décidé de venir à Yellowsky ?
Je ne me rappelle plus très bien comment j'ai trouvé Yellowsky. En fait, je crois que j'ai fait des recherches : je voulais trouver une ville loin de Manchester, mon ancienne ville. J'ai trouvé cette ville et je ne me suis pas plus informé que sur la distance à parcourir. Je n'ai laissé aucun mot sur la table de la cuisine, j'ai attrapé ma petite Apple, qui n'avait que deux ans, je l'ai embarqué dans la voiture et j'ai filé. Sa mère était une droguée, une revendeuse et un cas perdu. L'aveuglement de l'amour me portait à croire que j'arriverais à la changer, enlever la drogue de sa vie. Elle avait des dettes, mais j'endurais tout ça. Cependant, quand ces gros drogués sont venus s'en prendre à ma petite fille, j'ai réalisé. Elle était un cas perdu, j'avais ma fille et je voulais sa sécurité. Sa mère s'en foutait complètement, elle rentrait très tard et droguée la plupart du temps. J'ai donc filé avec la petite et j'ai tout abandonné. Lorsque je suis arrivé ici, j'ignorais tout de la ville. J'ai cependant vu qu'il y avait un poste de pédiatre libre. J'ai sauté sur l'occasion. J'avais besoin de nouveau départ, de me tenir loin de la drogue et d'amener ma fille dans une ville sûre, là où je n'aurais plus peur qu'on me l'enlève.

Et votre particularité, c'est quoi ?
Ma petite fille me reproche souvent d'être trop protecteur, mais je l'ai toujours été. Je crois que ce côté ''over-protective'' (ou sur-protecteur, si vous préférez) est ma particularité. J'arrive à me faire passer très facilement après tous ceux que j'aime et je n'hésiterais pas une seule seconde à prendre une balle pour quelqu'un à qui je tiens. Certains pensent que ce côté de ma personnalité est maladif et que ce n'est pas bon pour mes proches, mais je crois que c'est ce qui me rend particulier. Les êtres humains de nos jours sont égocentriques et pensent qu'à eux-mêmes, il se fait rare de voir un être humain préférer les autres à lui-même. Vous devez sûrement penser qu'être protecteur/trice, c'est normal. Mais moi, c'est bien plus qu'une simple question de protection. Je tiens à ce que les autres se sentent bien et j'aime voir les autres heureux : cela est la base de mon bonheur. Je suis un homme de si bonne foie, selon certains, que s'en est presque impossible. Pourtant, c'est vrai : je préfère les autres à moi-même et serait prêt à mourir pour n'importe qui.

Comment vous définiriez-vous ?
Tout le monde a sa propre façon de me percevoir, ce qui est parfaitement normal. Certains me disent sympathique et joviale, tandis que d'autres me disent étrange et suspect. Chacun a sa façon de me voir et chacun m'a jugé par mon apparence. Je ne crois pas avoir besoin de vous rappeler un vieux dicton, ''les apparences sont parfois trompeuses''. C'est effectivement vrai. Je peux être l'homme le plus gentil sur Terre, comme je peux me montrer grincheux et vous casser les oreilles. Je fais honneur à mes valeurs, ce qui fait que je n'ai pas peur de me tenir debout et soutenir mes points. Malgré cela, je sais aussi me faire très discret et je suis aussi très mystérieux. Certains me craignent, me trouvent étrange, me suspectent, mais j'y peux rien. Je suis cependant assez modeste pour reconnaître que je peux paraître louche : je n'aime pas me mêler aux gens, je suis un peu plus différent. Et tout le monde sait que les gens différents n'ont pas toujours leur place. On me décrit aussi comme étant une ''belle gueule'', c'est d'ailleurs pourquoi j'ai pas de problèmes à empiler les aventures d'un soir. Je suis très protecteur (comme c'est ma particularité) et je suis, faut l'avouer, courageux. Cependant, j'ai toujours ce cauchemar, cette peur qui me hante : la police débarque et m'arrête, pour avoir ''kidnapper'' ma fille. Ils ignorent que je l'ai sauvé en faisant cela.

J'ai d'étranges manies aussi, comme me craquer les doigts ou tous les autres os du corps. J'aime bien le fait que le monde me trouve mystérieux, ça les éloigne de moi et ça m'éloigne des problèmes. Pour ne pas me décrire comme étant un antisocial, je suis un homme comblé par ma solitude. J'ai ma fille et cette compagnie me suffit. Comme j'aime sa compagnie, j'aime parfois aller me détendre dans les bars, un cigare à la bouche. Je suis ce genre d'homme, que voulez-vous ?

Je ne crois pas devoir me décrire plus, enfin, si je veux garder un peu de mystère ...

5 janvier 1998, la date où tout a commencé. Je suis l'enfant de l'union d'une belle et charmante femme ainsi que d'un salaud de mari. Vous vous demandez sûrement comment je peux avoir autant de haine sur un homme qui a contribué à mon existence. J'aurais préféré n'être jamais venu au lieu de voir cette merde battre ma mère tous les jours. Tout cela a commencé à ma naissance, lorsque mon ''père'' a commencé à boire. Il ne semblait pas m'aimer, je n'étais pas assez parfait à son goût. Il mettait tout cela sur le dos de ma pauvre mère et la battait. Bébé, j'étais trop jeune pour la défendre. Je me contentais de hurler le plus fort possible dans mon berceau, espérant qu'il ne serait plus capable de m'entendre et la laisserait tranquille. Elle était souvent étendue sur le sol, en face de moi et déjà, lorsque mon père quittait les lieux, je passais ma petite main à travers les barreaux, lui caressant la tête. C'est probablement de là que j'ai tiré mon côté sur-protecteur. Plus les années passaient, plus je m'interposais entre ma mère et ce connard. Souvent, mon père m'envoyait sur le mur afin que je lui laisse le champ libre pour la frapper. Après quelques minutes, lorsqu'il la voyait immobile sur le sol, il allait s'enfermer dans son bureau et vidait une autre bouteille. Je n'ai jamais pris la peine de lui demander ce qu'il faisait dans la vie, car je ne m'étais jamais intéressé à lui. Je prenais soin de ma mère lorsqu'elle était au sol. Je lui mettais des compresses d'eau froide sur la tête, je nettoyais le sang sur son visage. Je n'avais que dix ans, j'étais un gamin. Cependant, vers l'âge de 15 ans, je m'imposais plus. Je bousculais de plus en plus mon père. Je le repoussais, je l'envoyais valser et ça terminait souvent lorsque ma mère nous hurlait d'arrêter. Elle ne comprenait pas comment je pouvais me battre contre mon père, je ne comprenais pas qu'elle puisse prendre la défense de cet homme. Parce que non, il n'était pas mon père. Il ne l'avait jamais été, depuis mon premier jour sur Terre. Je le détestais.

Les années passèrent, je me sentais misérable. J'avais 20 ans, mon père me prenait pour un minable. Il me donnait le rôle du pire enfant de Manchester et me reprochait de lui tenir tête. Moi, je n'avais envie que de ça. J'étais encore dans cette maison, car je voulais m'assurer que ma mère allait bien. Les coups de mon père ne lui avait pas été d'aucun effet. Plusieurs commotions cérébrales, des membres cassés, des dents perdues ... Il avait fait tout cela à ma mère et moi, je lui en aurais fait encore plus à cette vermine d'homme. Un jour, je me rendis compte. Oui, ma mère était tout de même follement amoureuse de cet homme. Je pouvais le voir dans son regard, elle l'embrassait avec ses yeux et prenait toujours sa défense. Elle mettait ses crises sur le dos de l'alcool, je mettais ça sur le dos de sa stupidité. C'est ainsi que je quittai la résidence familiale à 20 ans. Je me rendis compte que je ne pouvais plus rien pour ma mère, qu'elle ne changerait jamais son opinion sur ce chien. Je fis mes valises et parti vers l'inconnu. J'étais étudiant en médecine, un domaine qui m'avait attiré, car je voulais pouvoir soigner les gens. J'avais soigné ma mère tellement de fois que c'était rendu une habitude pour moi. Je m'étais même soigné, moi, lorsque mon père était trop violent dans mon enfance comme mon adolescence.

Je suis resté à Manchester, je me suis rapidement trouvé un petit logement ainsi qu'un boulot. Je vivais ma vie tranquillement, drôlement mature pour mon âge. J'étais déterminé à devenir médecin, je voulais sauver le monde comme je n'avais pas pu sauver ma mère. C'est alors que ma vie changea complètement. Je fis la rencontre d'une fille, une droguée de mes cours. Elle était belle, probablement la plus belle que j'avais jamais vu. Je fis sa connaissance et comme la vie devait suivre son cours, nous avons rapidement formé un couple. J'étais heureux, elle semblait heureuse. Nous nous sommes fréquentés pendant un an, puis elle est tombée enceinte. Nous allions avoir un enfant, inutile de vous dire à quel point j'étais heureux. Je comptais bien être un père merveilleux pour ma fille, comme je n'avais jamais pu en avoir. J'aurais aimé dire que nous avons vécu heureux et eu plusieurs autres enfants, mais la vie n'est pas si rose.

Ses problèmes de drogues avaient empiré. J'avais tenté de l'aider, je lui payais des désintox et je l'encourageais. Je n'avais jamais été attiré par cette substance et je lui avais d'ailleurs expliqué ce dégoût. Un jour, je croyais bien qu'on en avait fini de ses problèmes. Apple, notre fille, avait deux ans et ma copine sortait de sa deuxième désintox. J'étais heureux... Un jour, ma fille jouait au parc. Elle avait deux ans et je la regardais jouer, assis sur un banc. Je souriais en la regardant, elle avait l'air si heureuse. Je fus stupide : j'ai détourné le regard de ma fille. Seulement trois secondes, je le jure. Mais lorsque j'ai reposé le regard sur elle, un homme la tenait. Nous étions seuls au parc, alors j'accourus vers elle. L'homme ne voulait pas la lâcher, il la voulait. Je l'ai frappé, très fort. J'ai saisi un bout de métal qui traînait non loin de moi et je l'ai frappé de toutes mes forces sur sa tête. Il est tombé et j'ai saisi ma fille et couru le plus loin que je pouvais. J'ai entendu un bruit, puis senti quelque chose me frôler le bras. Cet homme avait tenté de me tirer dessus. Il voulait moi ou ma fille, alors je couru encore plus vite. Lorsque j'arrivai chez moi, ma copine était surprise de me voir essoufflé. Je lui ai expliqué, elle a compris et j'ai compris. La poudre blanche sous son nez l'avait trahi. Elle avait recommencé, ses dettes s'étaient empilées. Alors, je n'ai pas entendu une minute de plus. J'ai fait des recherches pendant la soirée et la nuit, j'ai fichée mon camp. J'ai pris Apple, je l'ai mis dans la voiture et je suis parti. Loin de tout, tous ces problèmes. Je savais parfaitement où j'allais, ma fille me faisait confiance. C'est ainsi que je suis atterri ici, à Yellowsky.

Pseudo : Valou - Identité : kangouru femelle à trois têtes et six coeurs parce que j'ai besoin de place pour aimer   - Âge :15 ans et toutes mes dents   - Type de personnage : inventé, carrément le fruit de mon imagination - Comment avez-vous découvert le forum ? Ma soeur, Kieran C. Fitzpatrick, m'a montré le forum et j'ai bien aimé  - Quelle sera votre fréquence de connexion ? 4 jours/7 - Comment définiriez-vous le forum, là, à chaud ?  j'adore ce foruuuummm et jotaime déjà, toi qui lis ma fiche