Nom : Cappelier. Je porte le nom de mon père, ancien ambassadeur français reconverti en géant de l'automobile. Autant dire que lorsque l'on entend mon patronyme, je ne passe pas inaperçue. - Prénom(s) : Emma-Rose. "Emma" venant probablement du prénom que portait ma grand-mère lorsqu'elle était encore vivante. Et "Rose" du célèbre personnage du Titanic. Que voulez-vous... ma mère était une fan invétérée. On ne peut pas lui en vouloir... DiCaprio est tellement sexy ! Âge : 25. Date et lieu de naissance : le 14 juillet 1988 à Bruxelles, en Belgique -la ville réputée par son humidité et ses pluies incessantes.-. J'ai vu le jour en une matinée chaude et ensoleillée d'été aux dires de mes parents. C'est aussi le jour de la fête nationale française. La France... un pays que j'aime beaucoup qui est celui qui a vu naître mon géniteur. Ne cherchez pas, je suis un paradoxe à moi seule. - Nationalités : Comme dit plus tôt, je suis née à Bruxelles ; donc belge. Mais lorsque j'avais 5 ans, ma famille a dû suivre mon père - à l'époque encore ambassadeur de France - où il allait exercer à Londres. J'ai donc une double nationalité: anglaise et belge. Depuis ce jour, je n'ai jamais quitté l'Angleterre et pour tout dire, je me suis assez bien habituée. - Situation sociale : Riche, et encore, ce serait être modeste. - Sexualité : Après plusieurs expériences, je peux affirmer que je ne pourrai être qu'avec des hommes. Comme un pêché-mignon mais c'est entre nous...Vie amoureuse : Célibataire déchue, à cause de mes fiançailles rompues et des quelques sentiments qui traînent... Mais je le vis plutôt bien. Emploi : Chorégraphe. La danse coule dans mes veines depuis que je suis enfant, c'est certainement la chose sans laquelle je ne pourrai vivre.


Pourquoi avez-vous décidé de venir à Yellowsky ? Un père ancien ambassadeur reconverti en géant de l'automobile, une mère rédactrice en chef d'un grand magasine de mode... Non vous ne rêvez pas. Vous n'êtes pas non plus devant un épisode d'un de ces films à l'eau de rose qu'ils vous servent lors d'après-midis pluvieux. C'est bel et bien ma réalité. Avec un tel parcours, j'avais toutes les chances d'être prise à Yellowsky. Sans compter ma formation de chorégraphe... Bon ok. J'avoue que ce sont plutôt mes parents qui m'ont poussée à planter ma tente ici... Ils ne voulaient pas que je me frotte à la "lie de la société" et avaient surtout peur des représailles dont j'aurais pu être la cible. Oui, mon succès et celui de mes paternels n'ont pas que des bons côtés... Je subis.

Et votre particularité, c'est quoi ?

L'originalité. J'en raffole. C'est comme le sel, j'en met partout... Cela vient certainement de mon éducation, où l'on m'a appris à me distinguer pour réussir. Que ce soit ma mini-cooper noire tâchée panthère, la sonnerie de mon téléphone portable en mode peu discrète, la sonnette à l'effigie de Matt Bomer, la façon dont je m'habille, les millions de nains peuplant mon jardin, la forme plus que douteuse de ma boîte aux lettres, la façon d'organiser mes spectacles... Oui franchement, je crois que c'est l'une des raisons qui a poussée Madame à m'accepter. Ici, on n'en voit pas deux comme moi.

Comment vous définiriez-vous ?

Je ne sais pas. Pour moi, je suis une fille simple mais ceux qui me connaissent n'ont de cesse que de me répéter le contraire. Je suis donc face à un dilemme : me croire moi... ou eux. Je vais tenter de me décrire brièvement pour que vous puissiez me donner votre avis. Pour commencer, quelque chose que j'avouerai volontiers... je ne suis pas à la portée de toute le monde. Pour que je vous accorde mon attention et une partie de mon précieux temps, il faut que vous m'ayez tapé dans l’œil. Non, il ne suffit pas de venir se pointer devant moi nu avec un peignoir rose... ce serez vous ridiculiser. Il faut que je sente quelque chose d'original, de différent en vous. C'est donc inutile de me noyer sous les lettres et de vanter tous mes mérites. Je le sais. D'ailleurs je compte payer quelqu'un pour filtrer mon courrier alors vos lettres, je risque de ne même pas les toucher. Sinon, à part ce petit côté méprisant, j'adore rire et faire rire. C'est certainement ce qui m'attire chez quelqu'un : l'humour. Bien évidemment, je ne me laisse marcher sur les pieds sous aucun prétexte. Ne serait-ce qu'un mot ou un geste de travers... et vous allez en payer le prix fort alors avec moi, mieux vaut se tenir à carreaux. Je sais être douce et gentille avec qui le mérite mais accorder ma confiance est une chose longue et pénible alors soyez armé de patience. Ensuite... j'ai une fâcheuse tendance à vouloir essayer tout ce qui me passe sous la main. Après, c'est pas toujours légal mais bon... Avec mon nom de famille, si je me fais choper, une heure après je suis dehors alors j'ai pas vraiment de soucis à me faire. J'ai aussi beaucoup de mal à me poser. C'est d'ailleurs ce qui m'a coûté ma plus récente rupture. Même si j'aime éperdument, je ne peux pas m'empêcher d'aller voir ailleurs. C'est le côté le plus sombre de ma personnalité. Celui que je déteste le plus aussi. Le plus souvent, ça ne dure pas plus d'une nuit alors il faut me pardonner... Parce que je ne changerai pour personne. Alors, de quel côté êtes-vous maintenant?

VOLAGE - PERFECTIONNISTE - EXIGEANTE - SOURIANTE - CARACTÉRIELLE - MÉPRISANTE - INSTINCTIVE - RENTRE DEDANS - SÉDUCTRICE - ACCRO A LA CIGARETTE - TACTILE - SPONTANÉE.


the beggining - Le nez collé contre la vitre, je pouvais distinguer à travers l'épaisse couche de buée, les danseuses se mouvoir d'une façon extraordinaire. Sans hésitation, je conterai ce moment si l'on me demandait de décrire l'un des moment décisifs de ma vie. Ce soir là, après une dure journée d'école, je suis tombée amoureuse de la danse. Quelques jours plus tard, j'avais suppliée ma mère pour qu'elle m'inscrive à un de ces cours... Puis je commençai à danser pour ne jamais m'arrêter. La seule promesse d'amour que je suis certaine de tenir.

the light - Les mains tremblants dissimulées sous mes cuisses, j'attendais avec appréhension que le spectacle commence. Que dis-je... Mon spectacle. Le premier de ma carrière que j'avais chorégraphié en entier, j'en étais assez fière. Je me trouvais au premier rang, assise au milieu de personnes influentes, artistiquement parlant. Ces géants de la danse étaient venus voir s'ils pouvaient me confier leurs troupes... Si j'étais à la hauteur, cela représentait toutes mes chances de faire décoller ma carrière. Comme toujours, j'avais misé sur l'originalité. Les costumes colorés, de différentes matières, les accessoires ainsi que le décor étaient simples mais apportaient leurs lots de significations au spectacle. Je n'avais pas surchargé la scène, selon moi, j'avais trouvé l’équilibre entre le "trop" et le "pas assez". Durant toute la durée du spectacle, j'avais passé le temps à scruter mes danseurs, à juger le moindre faux pas ou oubli... A fleur de peau et sur les nerfs, si quelqu'un serait venu me parler, j'aurais pu me mettre à éclater de rire... ou en sanglot. Et je savais tant bien que mal que je ne me déchargerai de ce stress chronique que lorsque les directeurs artistiques seront venus m'annoncer leur décision. La sentence, en soit. "Mademoiselle Cappelier?". En une seconde, je m'étais retournée. Face à moi, le visage angélique d'un homme me souriait. Charmeur... pensais-je, avant de chasser directement cette pensée de mon esprit. Ce n'est pas le moment pour marivauder, Emmy. "..Oui?". « votre représentation était à chier, tout ce que je redoutais en venant ici. vous devriez certainement revoir les costumes, beaucoup trop superficiels ! ah ça oui. je n'ai jamais vu autant d'hypocrisie dans les mouvements de vos danseurs... bref, je m'en vais, ce n'était que quelques conseils. à plus tard, si vous ne finissez pas sans-abris. » "Excellent, sublime. On signe où?" Une seconde d'analyse. Puis la lumière, l'explosion, le feu d'artifice du succès m'atteignirent. J'avais réussi.

the fall - Mon cœur cognait férocement dans ma poitrine. Ça ne pouvaient être qu'un hasard, les étourdissements, la fatigue, et le retard des règles... Je m'étais laissée aller ces dernières semaines. Après ma rupture avec Galahad, j'avais passé mes semaine en ermite, enfermée chez moi à me morfondre sur l'erreur commise. Je l'avais trompé, c'était un fait. J'avais toujours été tentée d'aller voir ailleurs... même si j'étais folle amoureuse d'un homme. Et c'était le cas, je m'en voulais énormément, mais toutes les excuses ne changeraient rien à la situation. Je le savais, je l'avais expérimenté. Peut-être que le changement de rythme était la cause de tous ces dérèglements, mais j'en doutais. J'étais certainement enceinte, je le savais, je le sentais, au fond de moi. Pourtant, je ne pouvais en être sûre qu'avec un test de grossesse. Je venais de suivre toutes les indications, il ne me restait plus qu'à attendre. 3 minutes interminables. J'essayais de faire passer le temps plus vite, comme avec un petit air de musique mais rien n'y faisait. Pas même la musique. Les secondes s'égrenaienit beaucoup plus lentement qu'à la normale. Tellement que lorsque l'alarme de mon téléphone cellulaire sonna les trois minutes passées, j'avais l'impression d'avoir attendu des jours. Avec précaution, je m'approchai du test, posé en évidence sur la table. La fenêtre affichait un vert. Un beau vert... couleur de l'herbe de mon enfance. Puis après ses jolis souvenirs... la réalité me percuta. J'étais enceinte. Mon Dieu, j'avais un bébé dans le ventre ! Non, c'était une erreur. Comment avais-je pu... Et puis une interrogation majeure germa dans mon esprit : qui était le père? Depuis Galahad, j'avais eu d'autres relation avec d'autres hommes et... je portais le bébé de l'un d'entre eux. J'avais l'impression que le ciel venait de me tomber sur la tête et pendant quelques secondes, je restais muette. Il fallait que je prenne une solution... au plus vite.

Pseudo : deliberation. - Identité : une sorte d'hippocampe - Âge : secret - Type de personnage : le magnifique scénario de galahaaaaad - Comment avez-vous découvert le forum ? partenariat ~ - Quelle sera votre fréquence de connexion ? 3/7 - Comment définiriez-vous le forum, là, à chaud ? je déteste, faut pas croire.