Nom : Khan - Prénom(s) : Noa Ian - Âge : vingt ans - Date et lieu de naissance : le quinze octobre à Hong Kong - Nationalité : sino-coréen - Situation sociale : riche - Sexualité : hétérosexuel - Vie amoureuse : célibataire - Emploi, études : étudiant en commerce international - dealer


Pourquoi avez-vous décidé de venir à Yellowsky ? Amusement. Luxure. Déchéance de l'homme. Cet appel de la folie, du dévergondage. La fête, l'alcool, la drogue. Oui, la drogue, parlons en. Dad, c'est toi qui m'a envoyé là, n'est ce pas ? Tu voulais que ton ami me prenne sous son aile. Tu voulais que je suive ta voie. Alors, me voilà, là. Dans ce quartier ou la désordre est bien plus présent que je ne le pensais. Tu le savais dad.

Et votre particularité, c'est quoi ? Je ne sais pas. Qu'est ce que tu as bien pu lui dire dad pour qu'elle retienne ma candidature. Pour qu'elle m'accepte. Qu'est ce que tu as dit de moi, dad. Tu lui as donné mon nom de famille, ton nom. Aurait elle entendu parlé de toi dad ? Connaîtrait notre nom ? Lui as tu dit pourquoi tu voulait m'envoyer ici ? Tu lui as dit dad ? Tu voulais que je sois un grand. Tu voulais que je donne un coup de main. Que je suive ta voie mais ailleurs. Ailleurs, c'était ici. Dans ce quartier plein de gens riches. Qu'est ce que tu lui as dit dad ? Comment est ce que tu m'as présenté ? Tu lui as dit que j'étais froid, dur. Que je faisais bien mon travail. tu lui as dit que je deviendrais un grand, comme toi. Tu lui as dit que l'argent était le but principale. C'est ça que tu lui as dit ? Et ma vrai particularité c'est quoi dad ? Hein dis moi, comment est ce que tu me décrirai, là maintenant ? Est ce que tu crois que compliqué me va bien ? Ou bien sadique ? Ou bien quoi ? Qu'est ce que tu lui as dit dad, réponds moi.

Comment vous définiriez-vous ? CHUT TAIS TOI TU ME SOÛLE. Il est comme ça Noa. Quand il a un truc à dire il le dit, franc, il n'hésite pas, que ça puisse blessé ou non, il s'en contre fou. Il ne supporte pas vraiment le genre de fille pipelette qui raconte sa vie juste pour la raconter, d'autant que ça ne le regarde pas. Si ça ne le concerne pas Noa ne se préoccupe pas des autres, il y a des exceptions à la règles. Pour en faire partie il faut être un de ses amis proches, quelqu'un qu'il ne laisserait pas tomber, quelqu'un à qui il tiendrait. Faisant parti monde de la rue Noa considère ses amis proches comme sa famille, une famille pour laquelle il se bat. Le jeune homme ne s'attache pas facilement aux gens. Il sera le bon pote, ouais ça pas de problème, tant qu'on le fait pas chier il saura être sympa, tranquille. Il n'est pas du genre à se prendre la tête pour des futilités, il ne support d'ailleurs pas ça. C'est un jeune homme au franc parlé et au caractère assez fort. Il ne se dit pas meneur de groupe ou des trucs dans le genre tout aussi stupide, il sait se faire entendre, simplement. Il arrive que ça soit avec les poings, ouais. Noa un côté particulièrement malsain. Il est dealer et l'argent qu'il en tire est important oui, mais il s'amuse avec ses clients. Oui, il les regarde le supplier, qu'ils supplient, comme ils sont ridicules tous. Ils sont lâches, pourquoi se plonger dans la drogue quand on a la vie qu'ils ont. Surtout ces gosses de riches qui veulent se montrer 'bad'. Ils sont ridicules et Noa jouent avec eux. Il les regardent se détruire, il les observe et se délecte de les voir souffrir, sadique dites vous ? Sans doutes.

AU FOND TU ME FAIS RIRE, CONTINUE. Il est comme ça Noa, bien qu'il ne soit pas toujours tendre, il lui arrive de sourire, il ne fait pas la gueule tout le temps. Il a un côté provocateur. Il aime s'amuser, sortir. Il a du fric, ouais, mais au fond, il l'utilise pas tant que ça. Ce n'est pas ce qui l'intéresse le plus, non. Il ne s'en sert pas pour obtenir ce qu'il veut. Il est du genre vouloir sortir de ses emmerdes seul, il ne demande pas l'aide des autres, non pas par fierté mal placée, juste parce qu'il ne veut pas attirer ses proches dans des emmerdes qu'il aurait pu causer lui même. Il prends plus soin de ses amis qu'il n'y paraît. Noa est le genre de personne à qui ses amis proches peuvent se confier et être surs que leur secrets ne seront pas dévoiler, il sait être compréhensif et à l'écoute quand il veut, ben que ça ne l'enchante pas toujours. Pour ses proches il est prêt à tout, il ne laissera jamais un ami derrière lui, il ne laissera jamais un proche seul. Il est comme ça Noa, un espèce de délinquant qui sait avoir un bon côté, parfois. Bon côté qu'il ne montre que rarement ou en présence de certaines personnes.

Dad. Tu te souviens de maman ? Non, sans doute pas. Elle n'était rien d'autre qu'une femme qui a fini dans ton lit. Elle ne t'as pas marqué plus qu'un autre ; Et qu'elle soit enceinte de toi, tu t'en foutais. Ça t'as pas empêché de la jeté. Elle n'était qu'une source de plaisir pour toi. Elle n'était rien d'autre qu'une femme de plus. Est ce que tu sais où je suis né Dad ? Non tu n'en sais rien, tu t'en fous. Mais je te le dis quand même, je suis né dans une cave, ouais, une cave. Et je me souviens encore de cet endroit, c'est là quand j'ai grandit dad. C'est la que s'est passé la première partie de ma vie, aussi infime soit elle. Dans cette pièce je jouais, dans celle d'à côté, maman travaillait. Et moi je les voyait défilé, tous ces mecs et je me disait que l'un d'eux était peut être mon père. Sauf que je ne savais pas lequel c'était. Est ce que tu sais à quel point c'est frustrant dad, de ne pas savoir. J'ai toujours voulu savoir qui tu étais. Maman m'a toujours dit qu'il ne valait mieux pas que je sache, elle ne voulait pas me dire qui tu étais. Je ne portais même pas ton nom. Je n'étais rien au yeux de la société, une naissance de plus, une bouche à nourrir en plus. Pour eux ce n'était rien, pour maman c'était du travail en plus. Toi tu ne la voyait pas, pour toi elle n'était rien, comme moi, je n'étais rien. Tu ne la voyais pas se détruire. Tu ne la voyais pas pleurer chaque soir une fois qu'un homme partait. Tu ne la voyais pas me supplier de lui pardonner cette vie. Tu ne la voyais pas dans ces états de manque. Au fond, dad, ton monde je le connaissais sans le savoir.

Puis j'ai grandit, encore. Je sortais, je traînais dans les rues. Mais j'étais quoi ? Juste un espèce d'ado en quête de son identité. J'avais besoin d'être fort, j'avais besoin de me sentir vivre. J'avais besoin de me sentir important. J'avais besoin de reconnaissance, mais il n'y avait personne pour la donner, cette foutue reconnaissance. Ah non, jamais personne pour me dire que j'étais quelqu'un. Oui je voulais être quelqu'un. Alors j'ai commencé à traîner dans les bandes, tu sais ces espèce d'ado qui font des conneries, bah j'en faisais partie. Sauf que j'avais douze ans quand j'ai commencé. J'étais devenu un grand. Je faisais peur au plus petit que moi, et au plus âgés aussi. Maman ne me voyait jamais, mais elle ne s'inquiétait pas, parce que ses pensées étaient trop embrumée. Il n'y avait rien d'autre que son travail et la drogue dans sa tête. Elle n'avait pas le temps pour moi, alors j'me suis occupé dad. J'ai vite été un espèce de délinquant. Et dans un coin de ma tête j'me disais, peut être que tu serais pas fier de moi si tu me voyait. Oui c'est sans doute ce qu'un bon père penserait de son fils. Mais une fois, j'me suis retrouvé mêlé dans cette histoire de drogue, parce que maman en avait besoin, qu'elle pouvait pas bougé et j'ai du en cherché. Elle m'a donné un nom. Un seul nom que j'ai répété à tous les gens que je connaissais.

Tu te souviens de cette fois ? Cette fois où un gamin de douze ans est venu sur ton territoire, ce gamin qui cherchais à acheter de la drogue. Ouais, c'était moi ce gamin. Tu t'en souviens n'est ce pas. Et quand je t'ai vu dad. J'étais impressionné, parce que tu était impressionnant. Mais je te l'ai jamais dit. Je l'ai jamais montré non plus. Je voulais juste ce foutu sachet pour maman. J'étais déterminé, je n'avais pas vraiment peur. Ou je ne le montrais pas. T'avais l'air surpris dad. Et j'ai réussi à repartir avec ce que maman m'avait demandé, oui tu me l'as donné. De toute façon j'avais l'argent. Et après je suis revenu plusieurs fois, parce que maman me le demandait. Parce qu'elle avait confiance en moi. Elle ne se demandait pas si je prenait des risques ou pas. Un gamin de douze an qui va voir la mafia chinoise, vraiment, elle n'avait plus de tête. Mais je le faisais et la regardais se détruire. Ça a duré bien deux ans ce manège là. Jusqu'au jour où elle réussi à mettre fin à ses jours. Je l'ai vu mourir dad. Je l'ai vu de mes propres yeux. Et quand je me suis balader dans les rues le lendemain. J'avais quatorze ans dad. Quatorze et tu m'as ramassé. Tu m'a relevé, tu m'as prit sous ton aile. Pourquoi est ce que t'as fait ça ? Est ce que tu m'avais reconnu, est ce que tu avais comprit qui j'étais. J'en savais rien mais j'ai pas refusé ton aide. Je suis entré dans ton monde et tu m'as forgé. Tu m'as entraîné à être froid, sans sentiments. Tu m'as endurcit, transformé. Et je suis rapidement devenu un de tes hommes. Oui, moi aussi j'ai commencé à vendre. À tourner dans les rues. J'avais seize ans que j'ai commencé, n'était ce pas un peu jeune. Qu'importe, moi je m'en foutais, ça me rapportais de l'argent et toi, tu m'avais reconnu. J'ai eut tout ce que j'avais toujours voulu, de la reconnaissance.

Dad, tu m'as envoyé à Londres. Pourquoi là bas ? Tu m'as dit qu'un ami à toi m'attendait là bas, que j'allais travailler avec lui. Que je serais son bras droit. Que je serais quelqu'un d'important. Alors quand j'suis arrivé là y a deux ans. Je comprenais pas. Je savais plus où était ma place, il fallait que je m'y fasse, à nouveau. Mais ça a été plus simple, j'avais dix huit ans. J'étais plus grand, et tu m'avais formé. Alors j'ai recommencé ce deal, j'ai recommencer à vendre de la drogue. Je m'incrustais aux fêtes d'étudiants, parce que j'étais jeune j'étais plus discret. Et je rapportais gros à ton ami. Ce cartel là, j'en étais un des plus important. J'étais reconnu, j'étais crains. Et je portais ton nom. Khan. Ce nom qu'ils n'osent prononcer en mal. J'étais fier de le porter ce nom. Parce que j'étais devenu quelqu'un. J'avais même mes client réguliers dad, surtout une jeune fille, une gamine de seize ans. Je savais pas ce qu'elle cherchait en se droguant. La reconnaissance, la fuite, la folie ? J'en savais rien et au fond je m'en foutais. Tu sais j'en ai vu passer des gosses de riches. Dad est ce que toi aussi tu les voyais, là bas, à Hong Kong ?

Dad, aujourd'hui j'ai vingt ans. Et je continue de rapporter de l'argent. J'me suis acheté un appartement plutôt pas mal avec le fric que j'ai gagné. Est ce que t'es fier de moi dad ? Est ce que t'es content de ce que je suis devenu ? Moi je sais pas quoi en penser. Je suis entré à la fac l'année dernière, en commerce international. Ça peut toujours servir tu crois pas ? Et ça m'occupe mes journées en général. Et cette dont je t'ai parlé. Elle vient d'entrer dans la fac aussi, en première année. Elle me fait penser à maman. Elle est accro, trop accro. Mais j'ai jamais voulu m'attarder dessus. Je sais pas à quoi elle penses, mais se bousiller la vie aussi jeune. Ridicule tu crois pas ? Ils sont tous ridicule et je m'amuse parfois dad. Je les regarde me supplier pour avoir leur drogue, leur dose quotidienne qu'ils achèteraient à n'importe quel prix. Tu sais, parfois cette gamine me fait penser à maman. Je la revois à travers elle et je me dis que je connais déjà son sort. Je sais comment tout ça va se terminer pour elle. Et je sais pas pourquoi j'arrive pas en avoir rien à foutre dad, j'arrive pas à me dire que je m'en fous. Parce que ce serait de ma faute si elle meurt. Parce qu'il n'y a que moi qu'elle vient voir tremblante, en manque. Je suis le seul qui lui vende sa foutue merde. Tu sais, un soir je l'ai vu. Elle était chez ton ami, celui qui s'occupe de la prostitution. Elle y était, et j'ai à nouveau pensé à maman. Mais putain dad pourquoi ça me touche tu m'explique. J'suis pas comme ça, j'suis pas sensible, j'suis pas un mec qui compati. Mais elle me touche, dad. Alors ce soir là j'l'ai sortie de là, instinctivement. C'est comme si mon corps avait agis indépendamment de mes pensées. J'l'ai sortie de son état de merde, j'l'ai ramené chez moi. Et j'ai essayé d'la faire dormir. De l'aider. Et chaque instant qui passait je revoyait maman dans ces état les plus pitoyable. Pourquoi est ce qu'elle me fait penser à elle alors qu'il y a une tonne d'étudiantes qui se mettent minable, qui se prostitue pour avoir ce qu'elles veulent. Pourquoi elle dad ? Le lendemain j'l'ai jeté, j'lui ai dit de rentrer chez elle. Et depuis je refuse de lui revendre quoi que ce soit. Qu'elle s'en sorte, putain.

Pseudo : Lightless.Tchi - Identité : Koala wsh. - Âge : vingt et un bientôt ! (en décembre ok.) - Type de personnage : inventé tavu - Comment avez-vous découvert le forum ? en me baladant de partenaires en partenaires - Quelle sera votre fréquence de connexion ? tous les jours un peu moins pour rp - Comment définiriez-vous le forum, là, à chaud ?  bô.