Nom : Louis - Prénom(s) : Paris Avery Coco - Âge : 26 ans - Date et lieu de naissance : 19 mai à Macclesfield - Nationalité : Anglaise - Situation sociale : riche - Sexualité : bisexuelle - Vie amoureuse : célibataire - Emploi, études : mannequin


Pourquoi avez-vous décidé de venir à Yellowsky ? Yellowsky, j'y suis premièrement venu simplement pour retrouver Pandora. Voir son frangin à Paris, tout triste à l'idée de la chercher sans résultat, a vraiment éveillé mon envie de la voir et de la trouver. J'ai réussis, les hommes ne sont pas vraiment doués pour trouver. Ils cherchent, sans rien trouver. Bref, j'aurais pu passer vite fait, chercher Pandore (la trouver), puis repartir dans ma jolie Paris. Mais le quartier m'a plût, et puis... Londres quoi. Elevée dans ma petite campagne britannique je suis partie pour Paris sans même passer par ma capitale, et j'ai remarqué que j'avais raté quelque chose. Il semble que Yellowsky soit un coin complètement huppé, chic... intéressant en somme. Le genre de coin où il est plus aisé de devenir actrice qu'ailleurs. Plus aisé qu'à Macclesfield du moins.

Et votre particularité, c'est quoi ? Je suis particulièrement à l'aise devant un appareil photo, et ce, même dans le plus simple des appareils tiens. Je sais que ma beauté est un atout, tout comme ma capacité à m'entendre avec tout le monde.. Pour de vrai comme pour de faux, cela m'est égal. Je sais aisément décomplexer les gens, je suis plutôt avenante, tout ce qui est beau réussit de toute façon. Du moins c'est ce que j'aime à croire, ou ce que m'a prouvé la vie ? Je suis partie à Paris à 18 ans, avec un vocabulaire français plus que limité, et je m'en suis tout de même sortie. Je n'ai pas fais de grandes études, mais je suis tout de même riche. Ma particularité c'est tout ça, je n'ai pas trouvé mieux que de résumer tout cela à : ma beauté.

Comment vous définiriez-vous ? Pétillante, je pense que ce terme me convient bien. Du moins, c'est celui que l'on m'attribue le plus volontiers, même si cela semble parfois.. mitigé. Comme un euphémisme. A croire que les personnes qui me disent "pétillante" voudraient en réalité dire "éclatante", ou bien "mordante" ou carrément "brûlante". Tout ces termes me vont au final. Je suis avenante, spontanée, je ne me prends pas la tête, sauf quand cela m'arrange, j'ai une puissante aversion pour les rabats-joie et une réelle pitié pour les personnes timides et renfermées. Je fais ce que je veux, quand je le veux, tout me réussit car rien ne me résiste, tout cela fait de moi une personne plutôt optimiste.

Le temps que ma mère avait passé à écouter (et me faire écouter) de la musique lorsqu'elle était enceinte n'a pas été vain puisque dès mon enfance j'étais comme accro à la musique. J'aimais danser, j'aimais chanter, j'aimais écouter.. Et c'est donc dès le collège que je commençais à m'y connaître en "classiques", comme Joy Division et la figure emblématique de Ian Curtis né à Macclesfield. C'était la seule chose qui me faisait un tant soit peu apprécier ma vie. Elle n'avait rien de dramatique, ni de particulièrement pénible, seulement il ne se passait rien. J'étais vraiment trop loin de Londres et n'avait qu'une seule aspiration : être une citadine. Le monde urbain, mouvementée, à la mode.. Toutes ces paillettes inconnues au bataillon dans mon patelin. Manchester n'était pas à la hauteur de mes espérances, il était fini le temps où l'on se faisait connaître comme ça, au tournant d'un bon son dans un bon bar.
Très vite, j'avais fais mon plan : à 18 ans je partirais pour une grande ville. Mais laquelle ?
Londres semblait le plus évident, le plus accessible surtout, et non moins attrayante. Puis en grandissant je suis tombée, à tout hasard, sur un film de Sophia Coppola, relatant l'histoire d'une des figures féminines Françaises les plus connues : Marie Antoinette. C'est à partir de ce jour que je me suis portée sur la France. A la vérité, ce n'était pas la toute première fois, appréciant la mode j'avais déjà bien entendu ouïe dire des plus grands créateurs et donc porté un certain intérêt vers le pays de la baguette et du béret; mais mon intérêt n'a cessé de s'accroître. J'avais même finie par devenir une boulimique de la France, je voulais tout savoir (tout vivre ?) et c'est de cette façon que j'ai notamment découvert Sarah Bernhardt, monstre-sacré de Jean Cocteau, mythomane élégante et talentueuse, une figure impressionnante, séduisante, pétillante... Une figure à laquelle je rêvais de m'identifier.

A 18 ans je suis partie pour Paris.

J'y voyais toute une histoire pré-écrite, mes parent m'avaient appelée Paris Avery Coco, Paris comme la capitale, Coco comme Chanel, Macclesfield comme Ian Curtis, Britannique comme Queen Elizabeth ? Queen comme Marie Antoinette ? Qu'importe tout les liens logiques inventés ou évidents, seule ma volonté était en réalité importante. Je me suis imposée, je me suis toujours imposée, alors mes parents n'ont pas vraiment eut leur mot à dire. Ou ils n'ont pas vraiment pu, pour être exacte.

Je ne parlais pas très bien Français, mon niveau était scolaire, ni plus ni moins. Et puis surtout mon accent british, nord-britannique même, de surcroît, c'était assez compliqué de me faire comprendre. Je n'avais jamais imaginé que les loyers puissent être aussi excessifs, alors j'ai débuté dans des hôtels miteux.. puis j'ai pris modèle sur Sarah : la séduction. Alors j'ai couché, couché, couché. Je ne pensais pas la vie si facile ! Tout le monde me semblait libéré, tout me semblait simple, et on dormait les-uns chez les autres, on squattait, je ne payait rien, pas de loyer pas de facture, j'allais simplement de lieux en lieux, de lits en lits..  tout pour passer le temps.
Trouver un job n'était pas aisé, j'ai commencé dans un kebab, puis dans une boîte, et enfin aux galleries LaFayette, grâce à mon niveau anglais, mon allure, mon sens de la mode, et les touristes. C'était notamment grâce à Ambroise, une fille chouette au prénom masculin, que je trouvais ce travail et trouvais des vêtements. Parfois elle me les prêtait, et on avait finit par vivre ensemble. Mon nouveau salaire me permettait de payer ma part du loyer.
Je rencontrais des personnes formidables, originales, uniques. Je buvais, je dansais, je baisais, je sortais, je me droguais, j'étais presque sans le sous et pourtant ma vie me semblait magique. Surtout lorsque j'ai rencontré Amaury, un photographe talentueux, quelque peu "poète" à ses heures perdues. Il m'a aidé à me faire un book, car mon projet se dessinais, et les castings n'aboutissaient pas sans ce fichu book. Je vivais tellement de choses en peu de temps que tout me semblait rapide et à la fois long. Toutes les années se mélangeaient, mais l'année de mes 20 ans fût unique : je devins mannequin. Je l'étais déjà un peu, mais là, ça devenait officiel.

Néanmoins, ce n'était pas facile. Au tout début, il est impossible de s'imposer, j'ai dû fermer ma gueule quelque fois, la rivalité étant assez rude il était hors de question que je me fasse virer pour un mot lorsque ma rivale était un thon. Nous étions plusieurs à s'empiffrer de mouchoirs afin de n'avoir ni faim ni calories, et les contrats n'étaient pas toujours réglo, on nous réclamait parfois nudité, suggestion, même quand ça n'avait rien à voir avec ce pourquoi nous étions venu. Mais en jouant la brebis soumise, j'ai réussit à grimper aisément, et je suis devenue une reine.

J'ai un jour rencontré ma princesse, elle était magnifique. Son prénom lui allait à merveille : Pandora. Il suffisait de réussir à la déverrouiller pour qu'elle libère mille délices, elle embellissait Paris, peut-être même qu'elle m'embellissait moi aussi. Quoi qu'il en soit j'avais réussie à l'intégrer à mon monde, j'avais ouvert sa boîte, elle avait croqué la pomme. Tout nous réussissait.
Jusqu'à ce qu'elle fasse la rabat-joie.

Je déteste ça, les rabat-joies.

Elle est partie, grand bien lui fasse. Du moins c'est ce que j'ai pensé, et encore, je lui avais dit pire. Elle s'était pas gênée non plus d'ailleurs. Tout ça pour quoi ? Une overdose ? Mais je ne suis pas morte bon sang. Nos chemins se sont séparés ainsi. Pandora est partie avec Lisbeth, et moi je suis restée.

Jusqu'à aujourd'hui. Contre toute attente, je suis de retour en Angleterre, mais à Londres cette fois. Le fait d'avoir rencontré et flirté avec un certain Tristan de Brissac a ravivé en moi le besoin de voir Pandora. J'ai appris par ailleurs qu'elle vivait dans un quartier très particulier, un quartier qui me serait d'ailleurs bénéfique. C'est pourquoi je n'ai pas hésité à monter à Londres la retrouver... Tristant poireaute en attendant mais ce n'est pas grave. Je sens qu'une nouvelle opportunité m'est offerte.

Pseudo : Na'- Identité : chat-chat - Âge : 19 ans- Type de personnage : scénario de Pandora De Brissac - Comment avez-vous découvert le forum ? partenariat avec Always Love - Quelle sera votre fréquence de connexion ? au moins 1/7 (autant donner peu pour réserver les surprises plutôt que l'inverse) - Comment définiriez-vous le forum, là, à chaud ?  sweet