Nom : Calderon. Ce patronyme est plutôt courant dans les pays hispaniques, pourtant, s'il y a bien une famille Calderon qui se démarque des autres, c'est celle ci. Une des plus influentes au Brésil, pour faire court. - Prénom(s) : Son premier prénom, Andreas, ne sort pas du commun. Simple, facile à retenir.. Ouais, il l'aime bien. Après tout, c'est plus évident de se fondre dans la masse avec quelque chose de passe partout. En revanche, il répond aussi à l'appellation Edvaldo-Jaaziel (qui se prononce au passage Edbaldo-Rassiel), nettement moins courante et qu'il utilise par conséquent très peu. C'est ça, d'avoir des parents qui ne savent pas faire des choix! - Âge : Il a vingt-ans. Encore tout jeune, le garçon, même pas assez vieux pour fréquenter certains lieux! Mais cela lui importe peu, les vingt-et-un ans, c'est pour bientôt. - Date et lieu de naissance : Andreas a vu le jour le huit mars mille neuf cent quatre-vingt douze à Rio De Janeiro, au Brésil. Autant vous dire que le climat Londonien le perturbe juste un peu.. - Nationalité : Ses papiers disent qu'il est Anglais. En vérité, il est toujours Brésilien. Mais honnêtement, toute personne dotée de bon sens comprend immédiatemment qu'il n'a rien d'un British. - Situation sociale : En théorie, il n'a aucune raison de se heurter à des soucis financiers. Son entourage est très riche, trop riche. Seulement, depuis qu'il a décidé de mener sa barque seul et donc de s'affranchir de toute dépendance parentale, Andre galère un peu plus. Du coup, il reçoit quand même un petit cachet sur son compte tous les mois, il dit que ça le soule, mais il ne crache pas dessus pour autant. - Sexualité : Il n'a jamais ressenti plus que de l'amitié profonde envers d'autres hommes. Pas de méprise, il n'a rien contre les homos, mais en ce qui le concerne, il est d'une hétérosexualité dont la réputation n'est plus à refaire. - Vie amoureuse : Andreas est célibataire. Trop volage pour jurer fidélité à une seule fille, trop étrange de toute façon pour les garder bien longtemps. Et puis, il se plaît très bien ainsi pour le moment. Les femmes, c'est chiant. - Emploi, études : Comment dire? Officiellement, il bosse dans un petit magasin de musique, qui vend CD, vinyles, objets de collections, instruments.. Bref, rien de bien extraordinaire. Officieusement, il est tireur d'élite, mécano clandestin quand l'envie lui prend, le genre à débrider des moteurs à outrance ou à rendre des services pas toujours très légaux.


Pourquoi avez-vous décidé de venir à Yellowsky ? Non. Ce n'est pas la richesse, ni les désirs de gloire et de reconnaissance ardents qui en animent certains qui l'ont attiré ici. Non, ce n'est pas non plus pour la quête (ou la reconquête) d'un amour qu'il s'est trainé jusqu'en Angleterre. Certes, les prétentions d'indépendance et d'aventure qui sommeillaient en lui ont fini par se réveiller. Mais en réalité, la seule véritable raison qui l'a poussé à quitter Rio pour Yellowsky en particulier, c'est de retrouver son jumeau. Sans trop vous en révéler non plus pour le moment, quelques explications s'imposent tout de même. DONC! Après s'être fracassé le crâne suite à un capotage entre mafieux, Andreas est tombé dans le coma. A son réveil, il avait perdu la presque totalité de sa mémoire. Seuls les éléments clés de sa vie lui sont finalement revenus en tête, son frère Arcadio en faisant évidemment parti. Arcadio, sa vie, son double, son repère dans la vie malgré leurs différences notables, inutile de vous faire le dessin du lien fraternel indéfectible qui les unissait. Cette dépendance cependant refoulée de l'un à l'autre, les parents Calderon en avaient pertinemment conscience.. Alors quand Andreas, encore tout brisé dans son lit d'hôpital, a prononcé la fâcheuse question "où est Arcadio?".. Ils n'ont pas eu le courage de lui dire la vérité. En réalité, le jumeau d'Andre fut un malheureux dommage collatéral de la fameuse embuscade mafieuse. Tout aurait été plus simple si les Papa & Maman n'avaient pas pris la mauvaise décision. Mais c'était trop difficile pour eux d'avouer cette vérité à leur fils dans un moment pareil. Par conséquent ils lui ont servi une explication vaseuse qu'Andreas a gobé par miracle, et depuis, la famille s'est enlisée dans un marécage de mensonges duquel ils n'ont jamais su sortir. Anabel, la seule fille et ainée Calderon, ne supportant plus de devoir mentir au seul frère qu'il lui restait, s'est finalement exilée à Londres quelques mois plus tard pour se lester, en surface, du poids de ce secret familial. D'abord blessé par ce départ que le cadet prit comme un abandon, il fut, suite à quelques recherches, garanti de source sûre que sa sœur résidait bien à Yellowsky. Persuadé qu'elle y cache en fait son frère, le voilà qui débarque in town afin de leur mettre un gros coup de pied au cul à tous les deux. Autant vous dire qu'Anabel est sacrément dans la merde et que le coup de pied, c'est sûrement Andreas qui se le prendra mais en pleine tête.

Et votre particularité, c'est quoi ? Si on passe outre sa divine beauté /SBAFF/ et la fortune dont il dispose, on peut dire en toute modestie que monsieur Andreas sort légèrement de l'ordinaire. A Rio, Arcadio et lui étaient surnommés "les maudits", parce qu'ils ont tous deux hérité d'un espèce de cadeau de la nature, mais également d'un énorme revers de médaille en contrepartie. Alors que le défunt jumeau fut gracieusement doté d'un Q.I supérieur à la moyenne, le survivant se vit offrir les cinq sens sur-développés, d'où son aptitude particulière au tir. Pour rééquilibrer la balance, le premier fut en revanche accablé du Daltonisme, quand le second eut droit à des nerfs sensitifs foireux. En bref, ces derniers sont défectueux et il ne ressent pas ou peu la douleur, ou alors au contraire de façon excessive. Par exemple, il peut se casser le poignet de façon indolore ou juste se brûler la langue et avoir l'impression qu'on la lui arrache. C'est étrange, mais surtout, c'est relou. Enfin soit, pourquoi Madame a accepté ce jeune Brésilien au passé plus que douteux au sein de son quartier huppé? Hmm.. D'abord parce qu'un tireur d'élite pour protéger la ville, c'est plutôt cool. Ensuite, Andreas a exposé sur le papier ses souhaits d'évasion, de savoir et de découvertes en toute franchise. Pas d'artifices. Pas de fayotage. Pas de calomnies. Que du vrai, du brut, du Andreas pur et dur. C'est à croire que l’honnêteté, ça paie toujours, et que Madame compte sur lui pour mettre un peu d'action! Parallèlement, il a aussi expliqué de façon brève ses motivations quant à son intégration dans le quartier.. Et c'est à croire que Madame a plus de cœur qu'il n'y parait!

Comment vous définiriez-vous ? En quelques mots? Andreas est difficile à cerner. Il est un condensé de complexité, de contradictions dans un seul et même corps. Contrairement à ce qu'on pourrait penser au vu de son tableau de chasse assez garni, Andre n'est pas le prototype du bâtard par excellence qui charme et jette les filles comme des malpropres en moins de deux. Andreas est avant tout un homme libre qui ne supporte pas l'idée d'appartenir à une seule personne. En couple, il n'est pas spécialement infidèle, ayant une grande sœur, il a une éthique par rapport à la femme à laquelle il se tient. Il a simplement une conception très particulière de l'amour, il est juste.. Trop distant, trop lui même, en réalité, pour la demoiselle qui a la chance (ou pas) d'être sa petite amie. Non, Andreas ne viendra pas en dessous de votre balcon pour vous chanter Wonderwall avec sa guitare sèche, non, il ne vous inondera pas de SMS dégoulinants d'amour, non, il ne vous susurrera pas des mots doux à l'oreille alors qu'il vous prend dans ses bras et non, il ne vous prouvera pas qu'il tient à vous en faisant preuve de jalousie puisque non, ceci ne figure pas dans son vocabulaire. Oui, Andreas oubliera votre anniversaire et s'excusera avec toute la désinvolture du monde, oui, il arrivera en retard à vos rendez-vous ou il ne s'y rendra tout simplement pas faute d'y avoir pensé, oui, parfois il préférera s'entrainer au tir seul plutôt que d'aller au cinéma avec vous, et oui, il préfère se bourrer la panse avec des tacos sauce guacamole devant la télé plutôt que de minauder les bonnes manières dans un restaurant gastronomique. Plus amoureux de l'adrénaline que des femmes, Andreas provoque la mort avec le sourire, lui fait des doigts d'honneur tandis qu'il lui échappe à 300km/h sur le dos de sa moto. La liberté. S'il y a bien une chose qui lui manque dans son pays natal, c'est la chaleur des rayons du soleil sur ses joues halées, la brise légère se faufilant entre ses mèches brunes alors qu'il galope à cru dans les étendues vertes des campagnes Brésiliennes. Son père lui a toujours reproché ce manque de raison, cette imprévisibilité, cette impulsion dans sa façon d'être et surtout ce côté borné dont il ne se défait pas avec le temps. Son impatience, aussi, cette manie qu'il a de tout vouloir tout de suite. Seulement, c'est bien de Papa qu'Andreas tient toutes ces caractéristiques, alors il ne peut pas vraiment le blâmer pour tout ça. Honnêtement, vous l'aurez compris, Andre est un bien meilleur ami que petit ami. Sociable, loyal, dévoué, dynamique voire hyperactif, drôle, gros fouteur de merde, fêtard, c'est le genre de gars qui met l'ambiance partout où il passe et dont le sourire ou la bonne humeur sont absolument contagieux. Pourtant, il a quelque chose, il a quelque chose dans ce qu'il dégage qui en impose et qui dérange. Vous savez, cette sensation de ne jamais vraiment savoir ce qu'il pense, cette impression désagréable qu'on vous manipule, qu'on se fout de votre gueule malgré ce sourire plein de bonté (quoi que mêlé d'une touche de mesquinerie) peint sur son visage. Sa franchise coupante et son humour noir déplaisent d'ailleurs à beaucoup de monde. En vérité, ce n'est pas tant qu'il se moque de vous ou qu'il vous méprise, juste qu'il a une difficulté monstre à accorder sa confiance, confiance qu'il ne donne qu'une seule et unique fois. Vous lui faites à l'envers, il ne vous oubliera jamais. On ne le prend pas pour un con impunément. Andreas, c'est un vrai caméléon. Plutôt vulgaire dans la vie de tous les jours, l'étendue de sa culture due aux restes de son éducation lui permettent de se mêler à peu près n'importe où. Et malgré son fort accent Brésilien, il embobine n'importe qui grâce à son sourire, à sa minutieuse maîtrise des mots, à son attitude. Le sérieux, la concentration? Il ne les a presque que quand il tient une arme entre ses mains, l'index comme un piston posé sur la gâchette. Quand il est en "mission", c'est presque un autre homme! Là vous vient la question "mais comment fait-il pour vivre normalement alors qu'il a déjà tué?" Calderon n'est pas si violent que ça d'ordinaire. Si vous l'emmerdez, évidemment il partira au quart de tour, dans ce cas partez loin, mais en soi il n'est pas pour la violence gratuite, et l'hémoglobine n'est pas quelque chose qui l'excite particulièrement. Seulement il a grandi dans cet univers, et il prend son boulot comme une normalité. Un boulanger vend du pain. Un tireur d'élite colle des pruneaux. C'est aussi simple que ça dans sa tête. D'ailleurs, tout ce qu'il fait est propre, il ne laisse aucune bavure derrière lui. Autant son territoire est pire que Badgad, autant il déteste le travail mal fait. Enfin, parlons de son orgueil, puisqu'il en a, comme toute personne normalement constituée. Andre n'est pas le genre à étaler sa vie ou ses émotions aux yeux de tous, non, il préfère tout garder pour lui, préfère tout porter sur ses épaules plutôt qu'encombrer celles des autres. En revanche, pleurer en public est quelque chose qui ne le gêne absolument pas, parce qu'après tout, ça fait du bien, parfois. En bref, Andreas n'est pas quelqu'un de foncièrement méchant. Pas blanc mais pas noir, pas adorable mais pas exécrable, menteur mais honnête, facile à vivre mais insondable, compréhensif mais intolérant.. Monsieur se qualifie lui même "d'original dans la banalité". Il faut juste l'apprivoiser, découvrir les diverses facettes qui le composent et qui ne demandent qu'à être découvertes!

il est gaucher mais fait tout comme un droitier, hormis écrire • il joue de la guitare et du piano • il mange trop sucré • il ne prend pas un gramme • il déteste qu'on parle en même temps que lui • il porte des bijoux qu'il a hérité de ses ancêtres • il essaye de couper un peu le cordon avec la mafia de son père, mais c'est dur • il ne sait pas que son frère est mort, mais sa mémoire travaille, du coup il est souvent victime de migraines, de flashbacks et de cauchemars qui se transforment en de petites crises d'angoisses dont il ne connait pas les raisons • il rêve beaucoup mais il ne l'admet pas • il fume des lucky strike • il ne boit qu'occasionnellement • il ne se drogue pas • mais il s'autorise un petit joint de temps en temps • il parle brésilien, français, espagnol, anglais, portugais et italien, tout ça marqué par un accent • il adore chanter, même si ce n'est pas toujours sympa à entendre • il jure toujours en brésilien • il considère plus ses cinq sens sur-développés comme un handicap que comme un cadeau • ses nerfs foireux encore plus • il se balade toujours avec une arme sur lui, vestige de ses habitudes mafieuses • il vérifie toujours cinquante fois qu'il n'a rien oublié lorsqu'il part de chez lui • il est toujours en retard • il déteste le temps à londres • il aime les animaux. au brésil il avait un cheval qui lui manque énormément, ici il a un chien et un chat à qui il parle comme à des humains • il a peur du noir • le silence l'apaise • il adore les vieilles voitures mais ne dirait pas non à une bonne grosse bentley • même s'il trouve ça superficiel, il doit bien reconnaitre que l'argent joue un rôle plutôt crucial dans le bonheur • il n'est pas très discret • il mange toujours des chewing-gums • il fait énormément de sport • étonnement, il aime écrire & dessiner • depuis la mort d'arcadio, il jongle entre boulimie, anorexie et orthorexie, seulement il n'en est même pas conscient • son truc à lui, c'est de caser des phrases cultes ou des répliques de films dans les conversations • & j'en passe des meilleures, à vous d'le découvrir!

Pseudo : en vérité, j'ai pas vraiment de pseudo. - Identité : je suis une fille. enfin j'crois. - Âge : seize ans! - Type de personnage : un des rares inventés que j'ai jamais créé! - Comment avez-vous découvert le forum ? bazzart = life - Quelle sera votre fréquence de connexion ? tout dépend des cours, mais au moins trois fois par semaines! - Comment définiriez-vous le forum, là, à chaud ? HDJF¨DFD¨QDKKS¨QXLFZQ