Nom : Parker. Un nom de famille très répandu là où je viens. - Prénom(s) : Luke Dorian mais je préfère qu'on m'appelle Dorian. Luke fait partie de mon ancienne vie. Je veux qu'on me voit comme Dorian à Londres. Le jeune homme sans problèmes. - Âge : Vingt quatre ans. Rien de spécial à signaler jusque là. - Date et lieu de naissance : Le treize juillet mille neuf cent huitante huit à Dublin en Irlande. - Nationalité : Je suis un irlandais de pure souche. - Situation sociale : Je ne roule pas sur l'or pour être honnête... - Sexualité : Hétérosexuel - Vie amoureuse : Célibataire mais une certaine jeune femme ne me laisse pas indifférent... Bien qu'elle soit beaucoup plus jeune que moi! - Emploi, études : Je travaille dans un bar le soir et le jour je suis mécanicien sur voitures.


Pourquoi avez-vous décidé de venir à Yellowsky ? Une nouvelle vie. J'ai quitté mon Irlande natale pour pouvoir repartir du bon pied et refaire ma vie comme je l'entends sans entendre ces incessantes rumeurs qu'il y avait à Dublin. J'avais besoin de changer d'air et j'avais aussi de la curiosité pour cette ville. On m'a parlé du quartier de Yellowsky et après avoir activement cherché un appartement, j'ai enfin trouvé mon bonheur. Je ne regrette vraiment pas.

Et votre particularité, c'est quoi ? Je suis quelqu'un de très manuel. J'ai appris à bricoler, à me débrouiller avec mes dix doigts pour pouvoir réparer quoi que ce soit. Je suis un peu le Anakin Skywalker de l'Angleterre que voulez vous. Mon voisin m'a appelé l'autre jour pour réparer sa tondeuse à gazon et j'y suis arrivé. Je travaille dans un garage autant dire que pour bricoler et réparer c'est l'endroit rêvé. Et puis avec un stylo entre les doigts je suis aussi pas mal doué. J'ai découvert ça y a deux ou trois ans quand j'habitais encore en Irlande. Dessiner des bandes dessinées m'a permis d'échapper un peu à mon quotidien et à sortir de ma bulle. Depuis, je ne me suis jamais arrêté mais ce n'est pas pour autant que j'affiche mon talent. Je préfère garder mes dessins pour moi et n'imagine vraiment pas les afficher en galerie.

Comment vous définiriez-vous ? Je suis quelqu'un de très réservé. Je parle uniquement si je le juge nécessaire et je me contente d'écouter ce que les gens ont à dire. Mon passé n'est pas évident et je n'ai pas envie qu'on vienne à me poser des questions. Mon médecin m'a souvent dit que j'étais un battant, que je revenais de loin et il n'a pas tord. Il a fallu que je tombe très bas pour me rendre compte que j'avais de la force en réalité. Peu sociable, je préfère la compagnie d'une seule personne si cette personne est la bonne. Je ne suis pas du genre à sortir en boîte. Je travaille dans un bar ça suffit pour être dans le bruit et la chaleur. Sportif, j'use de la course pour me défouler et me changer les idées. Et si j'ai vraiment besoin de me déconnecter du monde extérieur je prends mes stylos et je dessine mes bandes dessinées préférées. Pas chiant, plutôt facile à vivre, je suis le colocataire idéal. Sauf que je vis seul parce que je n'ai pas besoin de m'entourer de personnes pour me sentir bien. Pas fou de technologies, je préfère aller lui parler directement en lui faisant la surprise d'arriver devant son université ou dans la librairie où elle travaille. Je cache un certain côté romantique en gros mais je n'aime pas le dire. Il n'y a qu'elle qui a le droit de le savoir.

« Dorian est un patient très particulier... Il est arrivé chez nous il y a plus d'une année et ne présentait pas de symptômes particulier... Pourtant, sa mère nous l'a presque amené par la peau des fesses en affirmant que son fils avait arrêté de parler et qu'il s'était gravement renfermé sur lui. Septique, j'ai appelé mon collègue du secteur schizophrénie mais pour lui comme pour moi, Dorian n'avait rien à faire ici. Il avait juste très mal supporté le divorce de ses parents. Après deux jours à essayer de le faire parler, sa mère est revenue le chercher. Nous ne pouvions rien faire pour lui. Le soir même, le jeune homme a essayer de se suicider. Heureusement pour lui, il n'a pas réussi. Il va garder ces cicatrices à vie et nous avons été obligés d'admettre que nous avions tord. Dorian ne va vraiment pas bien. Sa mère nous l'a laissé avec son sac. Il a vingt trois ans et c'est sa mère qui le traine dans un hôpital psychiatrique. Il y a de quoi être perturbé. Ce jeune homme se promettait à de grandes études dans l'hôtellerie. Il aimait ça mais quand ses parents ont commencé à se déchirer devant lui, il s'est renfermé sur lui même et a "perdu" la parole. Impossible de lui arracher le moindre mot. Même durant les activités avec les autres patients, Dorian n'a jamai ouvert la bouche pour autre chose que manger ou boire. Nous ne sommes pas habitués à ce genre de cas ici à Dublin et pourtant, on a voulu l'aider. On est là pour ça après tout. Au lieu d'être en face d'un jeune homme de vingt trois ans, nous étions face à un adolescent. Il a fallu qu'on trouve un moyen de le faire s'exprimer. De la musique, des livres... Rien n'a marché. Jusqu'au jour où on l'a retrouvé dans sa chambre en train de dessiner. Plutôt doué le garçon... En six cases, on comprenait toute la douleur qui traversait chacune de ses veines. Un divorce. Ses parents étaient le modèle parfait de l'amour et lorsqu'ils se sont séparés, il s'est retrouvé ballotté d'un endroit à un autre sans qu'on ne le laisse prendre son indépendance pour autant. Sa main a le grappin sur lui. C'est elle qui décide à sa place. A chaque fois qu'il a voulu partir, reprendre ses études, se trouver un studio ou avoir des amis elle l'a recardé.

Au fil des semaines pourtant, Dorian a recommencé à sourire. Dessiner lui faisait du bien même si aucun mot n'était encore sorti de sa bouche. Il est devenu plus participant aux activités en groupe, à manger normalement et à utiliser son rasoir pour son vrai usage. Une victoire en somme. Petit à petit, il a posé ses stylos et s'est souvent connecté sur l'ordinateur de l'hôpital. Au début, on pensait qu'il faisait des simples jeux, comme un enfant. Mais plus il tapait sur son clavier, plus il souriait. Une fille? Oui, une fille. « Une Londonienne. » nous a-t-il dit quand on lui a demandé d'où venait cette fille. Un vrai soulagement. Dorian a une voix! Et c'est grâce à cette fille... « Birdie. » avait-il tenu a préciser. Dorian était redevenu le jeune homme de vingt trois ans qu'il devait être. Prêt à quitter l'établissement, il s'est vu offrir un billet pour la capitale britannique par tout le staff de l'hôpital tant son histoire a touché.

J'ai reçu un mail de sa part ce matin. Il me disait que sa nouvelle vie lui plaisait, qu'il avait trouvé un petit appartement dans un quartier qui s'appelle Yellowsky et qu'il a deux jobs pour s'occuper l'esprit. Apparemment, il se sent mieux dans sa tête et dans ses baskets. Il parle. Peu mais il parle et c'est l'essentiel. Il avoue même ne pas avoir regretté d'avoir quitté l'Irlande. C'est à cause de sa famille qu'il a fini au plus bas alors qu'il avait la vie devant lui à son âge. Curieux, je lui ai demandé s'il avait revu cette Birdie. Je ne le vois pas, mais je suis sûre qu'il a sourit devant ma question. Il m'a répondu par un simple "oui". »

Pseudo : h3artbeats comme toujours! - Identité : Une fille aux dernières nouvelles - Âge : Vingt et un ans - Type de personnage : Inventé pour une fois! Je me lance... - Comment avez-vous découvert le forum ? Dorian est mon dc mais quand je me suis inscrite avec Arielle j'avais découvert le forum par partenariat si je me rappelle bien. J'avais craqué et même après tout ce temps, je suis toujours autant amoureuse. - Quelle sera votre fréquence de connexion ? Minimum trois fois par semaine selon mes horaires au boulot. - Comment définiriez-vous le forum, là, à chaud ? Toujours aussi beau et j'adore particulièrement le staff!