Nom : Mashlow - Prénom(s) : Arielle Micah - Âge : 25 ans - Date et lieu de naissance : 08/06/1987 Londres - Nationalité : Britannique - Situation sociale : Normale - Sexualité : hétérosexuelle - Vie amoureuse : Mère célibataire - Emploi, études : Possède une galerie d'art


Pourquoi avez-vous décidé de venir à Yellowsky ? En fait, je ne l'ai pas vraiment choisi... C'est ici que mon ex petit ami vivait étant donné que Monsieur avait de quoi se payer une belle maison ici grâce à son job dans l'hôtellerie. A la base, je viens d'un quartier bien moins huppé de Londres et j'avais un simple studio aux allures de salle de peinture tant j'y entreposais des tableaux que j'aimais. Quand je suis tombée enceinte, mon ex petit ami m'a naturellement proposé de venir chez lui. J'étais hyper emaballée à l'idée de d'élever notre fille ici, les trois. Jusqu'au jour où je suis rentrée à la maison et qu'il n'était plus là, ses affaires non plus. Cependant, comme cette maison était achetée, je ne me suis pas gênée pour rester ici. Il ne m'a jamais rien réclamé et il a pas vraiment intérêt. J'ai l'air gentille de l'extérieur mais faut pas me prendre pour une truite non plus! Le quartier est agréable, les voisins des vrais piplettes mais je m'y sens bien alors je ne vois pas pourquoi je partirai! J'ai tout ce qu'il faut et je sais que c'est un endroit idéal pour élever ma princesse de six mois.

Et votre particularité, c'est quoi ? J'ai envie de dire que je suis une femme un peu banale mais je sais que si je le dis, j'ai immédiatement mes parents qui vont me courir après pour vous dire à quel point j'ai cette âme artiste. Je vois les choses d'un autre oeil. J'aime le mélange des couleurs et des formes et je dois avouer que j'ai tendance à être une 'geek de la peinture'. Ce statut ne me gêne pas, je l'assume entièrement. Mais c'est vrai que ça peut paraître un peu déjanté dans ce monde. Pourtant je suis bel et bien comme vous. J'aime les choses simples mais belles. J'aime afficher un tableau sur un mur en brique et avoir des piles et des piles de bouquins dans un coin de la maison.

Comment vous définiriez-vous ? Je suis une grande passionnée. J'ai eu des sacrés coups durs dans ma vie mais je me suis à chaque fois relevée, plus forte. Quand j'aime quelque chose - ou quelqu'un - je l'aime entièrement. Comme ma passion pour l'art. J'en suis folle et j'ai décidé d'en faire mon métier. Je suis quelqu'un d'obstiné aussi, difficile de me faire changer d'avis sur un coup de tête. Si je dois le faire, ça sera réfléchi pendant des heures. Je ne me suis pas laissé abattre quand j'ai compris que j'allais devoir élever ma fille seule. J'ai malheureusement tendance à être assez impulsive et une grande rancunière. Avec moi, la citation 'qui s'y frotte, s'y pique' me définit parfaitement. Mais par-dessus tout, j'aime la vie. Je suis pétillante et j'aime tout ce qui est positif et joyeux. La pluie et le froid, je déteste ça mais bon, ça fait partie des saisons alors je n'ai pas trop le choix me direz-vous.

Mon papa m’avait pourtant dit de me méfier des gentils garçons… J’aurais peut-être dû l’écouter. Il a toujours été très présent pour moi, plus que ma propre mère. J’étais sa petite princesse qu’il protégeait. Mes parents Quatre ans après ma naissance, mes parents ont décidé de me faire une petite sœur. Il faut croire que je n’ai pas été assez désagréable pour les dégouter de la maternité. Mais tant mieux car avec cette petite sœur, on devint vraiment inséparables, des vrais jumelles et toujours là l’une pour l’autre. Elle était le côté calme que je n’avais pas et moi j’étais celle qui la motivait. En grandissant, on s’est démarquée niveau études ; moi j’étais l’élève dans son monde, ayant les meilleures notes en art et elle, elle était davantage l’intello, celle qui aime lire et écrire. Naturellement, je me suis dirigée vers des études dans l’art. J’ai dû apprendre à maitriser l’histoire de l’art, un domaine dans lequel j’étais vraiment mauvaise mais heureusement, j’ai pu me rattraper dans les analyses de peintures et dans ma vision de l’art. Je n’étais pas bizarre, loin de là. J’avais des copines normales à l’école, j’ai rencontré un ou deux garçons qui m’ont brisé le cœur, comme tout le monde. J’ai terminé mes études à l’âge de vingt et un ans, il y a quatre ans. J’ai décidé de me lancer dans ma propre boîte. Grâce à une aide de papa, je m’offre un local dans le centre de Londres. Je demande à des peintres inconnus d’exposer leurs œuvres et je fais régulièrement des soirées d’exposition pour les vendre. C’est vraiment quelque chose qui me passionne et ça se voit.

Il y a deux ans, j’ai rencontré un homme. Séduisant, avec de beaux cheveux bruns et ces yeux bleus qui me font toujours fondre chez la gente masculine. Il s’est présenté à une de mes expositions et m’a complimenté toute la soirée sur mon local. Je l’ai tout de suite trouvé très charmant. Il s’est avéré qu’il travaillait dans l’hôtellerie et j’ai tout de suite été charmée par son petit accent français. Il était dans le coin pour un voyage d’affaire. Cette relation devient vite passionnée et à la fois tendre. Bref, je tombe amoureuse. Il décide d’acheter à Londres pour pouvoir vivre près de moi et ne pas devoir faire les allers retours entre Paris et la capitale Britannique. Je suis aux anges. Mes parents par contre lui trouve un petit côté mystérieux et c’est là que mon papa m’a dit de me méfier. Mais vous savez ce que c’est, quand on est amoureuse… On ferme les yeux. Puis les événements se sont enchainés… Un matin, je le retrouve dans ma chambre de mon petit studio, je tiens un test de grossesse à la main. Ce test atteste que je suis enceinte. Comment est-ce possible… ? On en parle et on va voir un médecin. Je fais partie de ce 0,001% de femme qui tombe enceinte malgré une contraception. Même si ce n’était pas prévu, je suis heureuse de cette nouvelle. Je voulais fonder une famille un jour même si ce n’était pas aussi tôt. Mon petit ami aussi semble ravi. Tout va pour le mieux. Je déménage chez lui, on se prépare à la naissance de notre petite fille. Il y a un an, alors que j’en suis à mon cinquième mois de grossesse, Dylan me tanne pour qu’on quitte Londres. Tout d’un coup, il ne veut plus vivre ici, il veut retourner à Paris. Je refuse. Je ne peux pas tout quitter comme ça, ma galerie, ma famille, ma ville surtout qu’on est presque prêt pour la naissance de notre fille… Un soir, je rentre après une grosse journée à la galerie et je me retrouve dans un appartement vidé des affaires de mon petit ami. J’en lâche tout ce que j’ai sur les bras et pose immédiatement mes mains à plat sur mon ventre arrondi. Je ne comprends pas… Enfin si, je comprends, mais je refuse d’y croire. Il m’a tout simplement largué, me laissant enceinte… Bien que la maison soit trop grande, je décide de la garder. Elle fera un endroit parfait pour élever ma fille qui montre le bout de son nez il y a maintenant six mois de ça. Quand vous êtes une mère célibataire, vous vous sentez très seule en salle d’accouchement. Heureusement, c’est une de mes proches amies qui vient pour me soutenir. En quelques heures, je tiens une petite Lula-Bee dans mes bras. Ma petite fille.

Gérer la galerie, m’occuper de Lula-Bee et être une femme n’est pas évident. J’enchaine les allers retours entre le local, la garderie et heureusement, de temps en temps je peux confier mon petit trésor à mes parents ou à des amies. J’ai de la chance d’être bien entourée. Dylan n’a jamais donné de nouvelles, il n’a même pas cherché à savoir comment allait sa fille et si j’avais besoin d’aide. Lula a maintenant six mois et j’essaie de tout faire pour une être une bonne mère même si seule, c’est pas facile.

Pseudo : h3artbeats mais appelez moi Virginie c'est plus mieux bien - Identité : Dark Vador - Âge : 21 ans et toutes mes dents! - Type de personnage : Inventé! - Comment avez-vous découvert le forum ? Par partenariat sur bébé à bord il me semble - Quelle sera votre fréquence de connexion ? J'ai pas de vie sociale, ça répond à votre question? Ahaha - Comment définiriez-vous le forum, là, à chaud ? Sublimissime. Depuis le temps que je cherchais à m'y inscrire! Je pense pas que je vais regretter.