Et quand on a beaucoup de chance, il se produit quelque chose qui n’arrive qu’une seule fois sur des millions ; la personne qu’on aime nous aime aussi...
Tu veux savoir ce qu’il m’arrive ? Tu veux vraiment que je te dise ? Ce qu’il y a c’est que je pense à toi tous les jours, que je te trouve simplement magnifique, que je pourrais te regarder pendant des heures sans jamais me lasser de ton sourire.... }La violence de sa réaction ne me surprends pas vraiment après tout je le mérite amplement, je ne fais que le rendre misérable et une fois, de plus j'y parviens avec succès. Alors j'accepte docilement, sans broncher, sans protester, cette colère largement justifié. La seule chose que je sais alors qu'il parle, qu'il prend le temps de fouiller sous la montagne de problèmes que je suis, c'est que je l'aime, je l'aime à en crever et que j'ai tellement peur de le détruire. Je veux m'en sortir mais si je n'en suis pas capable ? Il a tellement confiance et en moi, et pourtant je doute pouvoir arriver à être à la hauteur de ses espérances. Je le veux auprès de moi, mais j'ai tellement peur de ne pas arriver à lui donner ce qu'il attends de moi. J'ai échoué une fois, deux fois ... Non réellement tellement de fois que je ne compte même plus. Je ne suis qu'un échec vivant.
- Je peux pas ... Je renifles de manière pathétique, son regard est insoutenable mais je me force à ne pas le fuir. J'ai besoin qu'il voit ... Je ne sais pas vraiment quoi, mais je sais que j'en ai besoin. Que cela m'est aussi vital que l'oxygène que je respires. - Putain, tu ne pourras jamais être heureux avec moi ... Et je le sais prêt à protester, et je dois l'en empêcher, pas avant que je ne dise la vérité à haute voix. Celle que nous savons tous les deux, mais que égoïstement je caches, que gentiment il prétends n'existe pas. - La peur te collera toujours au ventre, et je ne peux pas t'en vouloir, parce que je t'ai donné plus que ma part de raison de le faire. Je laisse un rire amer franchir mes lèvres, je suis en proie encore à ce dilemme incertain. Je le veux mais en même temps, je ne peux pas. Mes poings se contractent pour m'éviter de me raccrocher à cette main tendue, parce que je ne peux pas toujours me reposer sur lui, je dois être à lui offrir la même chose qu'il m'offre, mais il est toujours celui qui pardonne et ferme les yeux sur mes défauts. - Je suis une épave ... Ma voix, reflète probablement la peur nichait au creux de mon estomac. - Je sais qu'on a déjà eu cette conversation mais comment je peux ... Je pince l'arête de mon nez entre mes doigts, prenant une profonde inspiration. - Je veux être là pour toi, j'en ai marre d'être ce poids constant sur ses épaules que tu sembles si enclin à supporter. Un frisson s'empare de moi, je ne sais pas si c'est le froid ou le vertige que je continue d'avoir depuis que j'ai vidé le contenu de mon estomac sur le bitume. Je sais que le son de la défaite est plus que présent alors que j'ajoute ces quelques mots comme pour lui faire comprendre, que ce n'est pas lui qui doit se remettre en cause, qu'il a toujours été à la hauteur, patient et ... tout ce dont j'ai besoin. - Il ne m'a pas fallu plus de cinq minutes pour tout faire foirer ... J'ai toujours été comme ça avec toi ... Je me promets que je ne veux pas te blesser mais je n'arrête pas de le faire encore et encore ... Comment je pourrais être un jour assez fort pour être celui sur lequel tu peux t'appuyer si je suis ... Je laisse ma main faire un geste vague, sensé englober tout ce que je suis. Un être instable, minable et sans aucune valeur. Et une dernière fois, je me laisse enclin à m'appuyer sur lui, une dernière fois ... Je vais être un peu égoïste, et profiter de sa chaleur et sa force. Je trébuches de manière misérable sur mes pieds, me rapprochant de lui, et laissant mon front retomber sur son épaule. - Et si je n'y arrives pas ? Si je n'arrives pas à guérir, et être quelqu'un sur qui tu peux compter ? Le souffle de ma voix, prenant une inflexion digne d'un enfant. Je laisse une de mes mains remontaient tout contre ma bouche, étouffant le gémissement désespéré qui veut s'en échapper. - Si je te détruit, je pourrais jamais me le pardonner. L'aveu est comme un couperet final dans l'espace de cette confession nocturne.
Lukas T. Andrews
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Et quand on a beaucoup de chance, il se produit quelque chose qui n’arrive qu’une seule fois sur des millions ; la personne qu’on aime nous aime aussi...
Tu veux savoir ce qu’il m’arrive ? Tu veux vraiment que je te dise ? Ce qu’il y a c’est que je pense à toi tous les jours, que je te trouve simplement magnifique, que je pourrais te regarder pendant des heures sans jamais me lasser de ton sourire.... }C'est toujours aussi effrayant pour moi de voir combien il est prêt à sacrifier, combien il m'accepte comme personne ne l'a fait avant lui et c'est peut être pour cela que je ne peux m'empêcher de graviter autour de lui, telle une planète autour du soleil. Il est le centre de mon univers, la pensée maintenant familière n'est pas ce qui est le centre de mes angoisses, malgré l'engagement que cela représente. Non, ce dont j'ai peur c'est d'être le centre du sien, parce que soudain j'ai cette vie, cette responsabilité entre les mains et je suis terrifié à l'idée de ruiner tout. Pourtant tel un pantin, je me laisse faire parce que ses mots se sont des caresses précieuses sur mon âme morcelée, sur mon esprit disloqué. J'ai confiance en lui, et je sais qu'il est honnête avec moi. Mais c'est une main invisible qui encercle mon coeur et le réduit en charpie à cause des mes doutes constants. J'ai besoin de lui. J'ai peur de lui. J'ai la tête qui tourne légèrement par ces montagnes russes d'émotions. Je m'execute cependant et lorsqu'il m'incite, j'enroule mes bras autour de son corps. Cette sensation est toujours aussi apaisante. Son corps contre le mien. - ce soir c'que j'ai besoin? de toi... puis j'ai froid.. j'suis fatigué aussi... j'aimerais bien éventuellement tes bras... tu crois que tu peux faire ça pour moi? J'veux rentrer...avec toi No'... Et la vérité, c'est qu'il ne demande pas grand chose, rien d'insurmontable. Une chose dont je suis probablement capable, même moi. Je laisse mon regard se perdre un instant dans les siens. Cette sensation brûlante de chaleur qui envahit mon corps, et me laisse une sensation de plénitude. Il est le seul avec qui je me sens complet, ne serait ce que pour une furtive seconde. Je laisse donc finalement ma tête bougeait dans un signe affirmatif avant de murmurer doucement. - Oui ... oui, je peux faire ça pour toi. Mais je mets quelques longues minutes à me détacher de lui, j'aime l'avoir dans mes bras, et j'ai peur que tout s'effondre de nouveau si je mets de la distance entre nous. Pourtant, je finis par m'y résoudre mais je laisse ma main glissait le long de son bras, entremêlant nos doigts avec un sourire hésitant. C'est si simple d'avoir ce genre de geste avec lui. Ce qui est souvent banal pour la plupart des gens requièrent bien souvent de gros efforts de ma part. Les contacts humains, les codes sociaux ayant du mal à s'imprimer réellement dans mon esprit.
J'avais gardé le silence, tout le long de notre retour à l'hotel, mais ce n'était pas parce que je retournais dans mes pensées plus sombres. Non, c'est parce que j'aimais écouté le son de sa voix, c'était une chose dont je ne me lassais pas, et quand il me lançait un regard gêné parce qu'il pensait m'ennuyer, je ne pouvais m'empêcher de laisser la glace autour de mon coeur fondre un peu plus. Si il savait le pouvoir qu'il avait sur moi, il perdrait peut être un peu de ce naturel qui me charmait tant mais en même temps, je serais prêt à tout pour lui, sans broncher. Alors que nous nous faufilions dans notre chambre, je laissais enfin finalement sa main glissait mais ce n'était que pour pouvoir le reprendre contre moi, laissant mon nez se faufilait juste au creux de son cou, délimitant son épaule. Inspirant son parfum. J'aurais presque pu resté des heures dans cette position, mais je savais qu'il était fatigué et il avait sûrement envie de se reposer, je redressais donc mon visage, lui adressant un sourire léger. Je n'étais pas un spécialiste des sourires éclatants mais cela ne m'empêchait pas d'éprouver autant de gratitude qu'un autre.
- Tu veux aller te changer ? Je vais aller me brosser les dents ... Je sentais mes joues s'échauffaient légèrement sous l'embarras, de rappeler que j'avais vomi le contenu de mon repas sur le trottoir, et qu'il supportait probablement mon haleine insupportable sans rien dire depuis tout à l'heure. Je passais une main dans mes cheveux ... - Je n'en ai pas pour longtemps ... Je ... Je grimaçais légèrement avant de me mordre la lèvre. - Je reviens ... Mais c'était avec difficulté que je mettais une distance réelle entre nous. J'avais peur de paniquer de nouveau, en me retrouvant derrière cette porte, et je semblais si indécis que je devais probablement l'intriguer. - Tu peux venir si tu veux ... enfin ... J'étais comme un gamin terrorisé du noir qui tentait de ne pas le montrer et agir avec une décontraction qui sonnait faux.
Lukas T. Andrews
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Et quand on a beaucoup de chance, il se produit quelque chose qui n’arrive qu’une seule fois sur des millions ; la personne qu’on aime nous aime aussi...
Tu veux savoir ce qu’il m’arrive ? Tu veux vraiment que je te dise ? Ce qu’il y a c’est que je pense à toi tous les jours, que je te trouve simplement magnifique, que je pourrais te regarder pendant des heures sans jamais me lasser de ton sourire.... }La légère chaleur de mes joues pourrait être légèrement humiliante, pour moi, si il s'était agi d'une tout autre personne que Lukas, face à moi. C'était la seule personne avec qui j'étais capable d'être totalement moi même, de laisser tomber ce masque dur et froid, mais mon cœur battait rapidement la chamade dans ma poitrine alors que je venais de faire cette demande si innocente. Son rire flottant au creux de mes oreilles, et m'obligeant à relever le regard sur son beau visage. Rire était une expression qui lui allait si bien, ces yeux lumineux et aussi chaleureux que le soleil dans ces instants là. Sa petite moue faussement sévère trahi par les petites lumières vibrant au creux des prunelles dorées comme le miel. - J'attendais que tu m'le demande dark vador! Un poids se soulevant de mes épaules, alors qu'il répond à ma requête avec bonne grâce, avec même ce que j'ose espéré être joie et liberté. Sa petite pointe de délicieuse douce folie surgissant sous l'apparence d'une brosse à dents, transformé l'espace d'un instant en jouet ... Et je me retiens de l'embrasser alors qu'il m'achève autant métaphoriquement que littéralement. Et ces bras victorieux ne sont pas si loin de la vérité, il m'a touché droit dans le coeur. Retour à la case départ, je suis son prisonnier ... et je ne m'en plains même pas. Je reste figé dans la sensation étrange qui envahit mes veines ... Est-ce que c'est ce qu'on appelle le bonheur, ce sentiment ? - eh No... tu dors? Je sors de ma transe, pour me retrouver de nouveau tout prêt de lui, et je ne proteste pas, mais un sourire taquin se dessine sur le coin de mes lèvres. - non non non c'est mort je te brosse pas les dents... si tu veux après je veux bien tenter un massage mais c'est tout hein... et puis j'suis loin d'être kiné t'sais! Un léger hoquet s'échappe de mes lèvres, embryon d'un rire coincé sous la vague d'émotions qui me survoltent depuis ce soir. Je me rends compte que nos retrouvailles ne datent pas de temps de temps que ca, et pourtant ... Cette journée, ce café, cette fontaine me semble à des années lumières de la petite bulle dans laquelle nous nous trouvons à cet instant précis. Et c'est sans méchanceté que je coince une de ses mains, et lui vole sa brosse à dents.
- Je suis peut être casse cou, mais connaissant ta maladresse, j'ai un peu peur d'y laisser un membre si je t'autorises à me masser ... C'est une légère taquinerie, une effaçant ou plutôt refoulant toutes les images que mon esprit me procurent à l'idée de ses mains sur ma peau. Un petit frisson me traverse à ce contact entre nos corps habillé, je n'ose vraiment imaginé ne pas sombrer totalement à l'idée de ses doigts, longs et fins sur ma peau légèrement fièvreuse de cette électricité que la simple idée me procure. - Mais je te fais confiance ... Et ces quelques mots, c'est peut être insignifiant pour la plupart des gens mais cela veut dire tout pour moi. Parce que faire confiance à quelqu'un, c'est une chose dont je suis quasi incapable. C'est aussi ma façon de tout lui dire sans rien lui révéler sur mes sentiments à son égard. J'ai toujours un peu peur de laisser ses trois petits mots franchirent mes lèvres. - Mais pour le moment, laisse moi me brosser les dents, tu es trop poli pour commenter mon haleine mais je ne suis pas assez masochiste pour en supporter le goût plus longtemps. Je relâche mon emprise sur lui, laisse ma hanche se cognait contre la sienne. Dans un geste qui en apparence, laisse croire à un dégage de mon chemin, mais qui en faite est le besoin de se rassurer de sa présence à mes côtés. Je déchire l'emballage d'une de ses brosses à dents de voyage que j'ai laissé un peu plus tôt, m'emparant du dentifrice, et si je joue à imiter un animal atteint de la rage avec la mousse du dentifrice, et bien il n'y a pas d'autre témoin que Lukas pour juger de mon ridicule et de ma puérilité momentané.
Lukas T. Andrews
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Et quand on a beaucoup de chance, il se produit quelque chose qui n’arrive qu’une seule fois sur des millions ; la personne qu’on aime nous aime aussi...
- on peut pas faire comme si t'avais rien entendu? Je clignes des yeux, encore impressionné par le flux de parole qui m'a assailli. Un tourbillon par lequel je me suis laissé happé, le goût doux et frais d'un baiser aux saveurs mentholés. La chaleur douce de mon pouce effleurant une peau chaude et satiné. Le choc d'une presque chute, mes mains se cramponnant instinctivement contre ses hanches. Je laisse peu à peu la situation se dessinait devant moi, pour en comprendre l'ampleur. La proximité de nos corps provoquaient par la gravitation. Ses yeux fuyant, ses pommettes rougissantes. Ses mots trébuchant, s'entrechoquant dans un discours chaotique. La pensée douloureuse me traverse que si il ne peut être à l'aise avec moi, c'est ma propre faute. Je baisse les yeux, cherchant à comprendre comment il peut interpréter mon langage corporelle à son égard. Je déteste le forcer dans ses retranchements défensives et c'est sans vraiment y réfléchir que je resserre avec conviction mes doigts avec les siens, avant de lever ses mains au dessus de sa tête, le clouant contre le panneau de bois alors que mon regard se promène sur ses traits, que j'essaye de capter ses yeux, que j'essaye de lui faire comprendre dans mes silences, tout ce que je ne parviens pas à dire avec mes mots. Mais je sais qu'il faudra un peu plus que ça ... Que Lukas a besoin de mots.
- Hey ... le son de ma voix est juste un murmure destiné à l'interpeller sans le réprimander, à instaurer ce climat de confiance que je ne mérites probablement pas. Je libère une de mes mains pour la poser sur sa joue. Mon pouce caressant sa mâchoire d'un geste tendre alors que mes autres doigts soulèvent son menton, je permets un léger sourire de se dessiner sur mon visage. Je tente de remplir mon rôle de plus vieux et de le rassurer, je tente de lui rendre la pareille à ce qu'il a pu faire pour moi, un peu plus tôt. - Moi aussi, j'y ai déjà pensé ... Et je ponctue mon aveu d'un délicat baiser sur son front. Que dans un geste presque joueur, je continue mon chemin, en déposant son petit frère sur l'arrête de son nez. Un autre sur le haut de chacune de ses joues. Pour finir par un plus long et langoureux sur le suave bourgeon de ses lèvres. Prenant mon temps pour m'y exprimer avec affection et passion simultanément. Ma jambe se creusant un chemin entre ses cuisses, mes doigts pianotant le long de son cou, le précieux son de son pouls raisonnant contre mes phalanges. Un tourbillon grisant mais sans autre but que de le rassurer un peu, avant que je ne me perde moi même dans cet assaut d'émotions trop intenses pour les discerner individuellement. Je finissais par rompre notre courte étreinte, tout en reposant mon front contre le sien, nos souffles s'entremêlant alors que je pouvais sentir le rythme de son cœur tout contre moi. Un pouvoir qui me grisait presque.
- Allons regarder ce film ... Je m'éloignais à contre cœur de lui, afin de le laisser se décoller de la porte, me permettant de l'ouvrir alors que je gardais une de ses mains dans les miennes. Et pour la plupart des gens, cela aurait pu être le prémisse à une nuit intense, mais j'avais encore quelques réticences à franchir ce cap. Pas que je ne le désirais pas mais parce que le souvenir de notre dernière nuit ensemble, hantait encore une partie trop présente de mon cerveau. La peur de cette intimité et de la puissance de ce qu'elle déclencherait. Et peut être que je serais une déception, incapable de lui offrir une relation épanouie comme il pouvait le désirer, mais je faisais des petits pas ... Ce qui était insignifiant pour la plupart des gens étaient des pas de géants pour moi. Je ne lui dénigrais pourtant pas l'espace de mes bras alors qu'il m'était un film en route sur son ordinateur, mon nez se perdant quelques instants dans le creux de son cou, alors que je suivais à peine l'action. A vrai dire, ce qui m'intéressait plus c'était l'instant avec lui que les images défilant sur l'écran.
Lukas T. Andrews
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Tranquillement entrain de savourer l'instant, je me retrouves complètement torpillé par la bourrasque Lukas. Il est nerveux. Est-ce que je le rends aussi nerveux ? J'ai du mal à suivre tous ses babillements mais je retiens la sensation qui s'en dégage. Je veux ouvrir ma bouche, dire quelque chose mais je suis à court de mot. Il s'est passé tellement de choses que je suis un peu au ralenti, mais lui comme toujours, il est cet être vibrant d'une dose d'énergie brillante. C'est un peu par surprise qu'il arrive à me balancer un oreiller à la figure pour me sourire fièrement avec un - ça aussi c'est drôle... Et je dois probablement ressembler à un ahuri alors que je tiens le fameux coussin entre mes mains et que je le dévisage, un peu choqué. Mes yeux font des allers retours entre son visage et l'oreiller, à quelques reprises avant que mes sourcils ne se fronçent. C'est dans ce moment là que je ne peux m'empêcher de voir nos différences, et combien il mérite quelqu'un d'un peu plus joueur et souriant que moi. Mon coeur se brise un peu à la pensée mais je tais mes peurs, les bridant avec fermeté. Je lui adresse un léger sourire avant de lui relancer le coussin et de m'adosser contre le montant du lit.
- Parles moi, Luke ... Je m'empare de sa main, et entrelaçant nos doigts. Je laisse mon regard s'accrocher au caramel fondant de ses yeux. - Je sens bien que tu es nerveux ... Est-ce que c'est moi qui te mets mal à l'aise ? Je penche la tête légèrement sur le côté, examinant de près ses réactions. Je me suis laissé aller à des gestes peut être un peu trop intime. Et bien plus signifiant que ce que le sexe pourrait signifier. Peut être que même maintenant, il a peur ... Peur de la façon dont je pourrais le blesser. Je ne peux vraiment pas le blâmer, je n'ai rien fait dans le passé qui ne puisse pas le pousser à ne pas se méfier. Je me mords la lèvre, cherchant lamentablement des mots réconfortants à son égard mais je n'avais jamais eu ce talent. Je me contentais de laisser mon pouce caressait l'intérieur de sa paume. Tentant de laisser mes gestes exprimaient ce que j'étais incapable de dire.
Les actions sont mes mots dans la plupart des situations qui m'entourent, je n'ai pas la facilité et l'aisance ... Ni l'assurance. Et je me suis déjà tellement ouvert ce soir, parce que Lukas, Lukas m'inspire de me battre contre mes handicaps mais à cet instant précis, je ne savais même pas ce qui pouvait le mettre dans un état pareil. J'étais seulement conscient que je n'appréciais pas qu'il soit si mal à l'aise avec moi. Je devais peut être mieux réprimer mes instincts à son égard. Je finissais par lâcher sa main à regret, une sensation de froid s'emparant de moi. La voix sombre de ma compagne habituel, la solitude, me murmurant des mots empoisonnés m'ébranlant un peu trop.
Lukas T. Andrews
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Quand il finissait par me donner la raison de sa gêne, je sentais le soulagement s'emparait de moi. Certes, je n'étais pas certain d'être près à plus avec lui, mais je préférais que son désir pour moi soit la cause de ce soudain malaise que la réminescence de mes erreurs passés. C'était un tout autre sac de noeud qui j'avais peur ne serait pas aussi simple à résoudre. Il semblait cependant vraiment honteux, et je me demandais si mon comportement lui avait laissé croire autre chose que la vérité. A savoir que j'étais autant affecté que lui par notre proximité physique. J'avais peut être probablement le luxe de la peur qui me freinait dans mes pulsions. J'avais encore plus envie de le prendre dans mes bras, tellement il pouvait être adorable avec cette maladresse évidente. J'avais aussi envie de dire, au diable la prudence et le dévorer entièrement de la tête au pied. Parce que il n'y avait aucun doute que si j'étais sur de l'avenir, de notre avenir, j'aurais fait ce dont je rêvais depuis cette nuit que nous avions passés tous les deux. Le faire mien encore, et à jamais. Qu'il n'oublie jamais dans les bras de qui, il était à sa place. Mais les choses n'étaient pas simples et je savais que je ne pouvais pas couper à une explication de ma part, si je ne voulais pas qu'il prenne mal mon manque d'intérêt à la surface.
- Pourquoi, je me moquerais de toi, Luke ? Comme tu l'as dit, d'une part c'est flatteur et ... Je laissais mon regard dérivait lentement sur mon corps pour se plantait sur la preuve visible se dessinant sous le tissu léger de mon bas que sa réaction n'était pas sans une similaire chez moi. - Je n'ai jamais dit que je n'étais pas physiquement affecté non plus par toi ... Je passais une main sur ma nuque, alors que je m'installais un peu plus confortablement sur le lit. Ne le quittant pas des yeux, comme ci j'avais peur de le voir disparaître, si je tournais les yeux, ne serait-ce qu'une seule seconde. J'étais si paralysé par mes propres angoisses, que je me rendais compte que je ne tenais pas vraiment compte de ce qu'il pouvait désirer. Et peut être que je devais prendre sur moi même et lui offrir un peu plus que des gestes insuffisants. C'était juste que mon coeur battait douloureusement la chamade dans ma cage thoracique et que ma gorge se serrait. Et si je me laissais trop aller, si je signais son arrêt de mort ... Je ne pouvais m'empêcher de repenser à ce coup de fil m'informant qu'il était à l'hopital suite à un accident de voiture. Parce que j'avais cru, ne serait-ce qu'un seul moment, à croire que je n'étais pas cette malédiction pour les gens bien trop proches de moi.
- Je ... On ... Enfin ... Je toussais pour m'éclaircir la gorge avant de me mordre la lèvre. La douleur m'encrant temporairement à la réalité. Ne pas oublier. Ne jamais oublier. - Lukas, je ne vais pas te mentir. Je te désires tellement que j'en ai mal au ventre mais j'ai peur ... peur que cela finisse comme la première fois. Peur que ... Je sentais ma respiration se saccadait, je serrais les poings se n'étaient pas le moment de faire une crise de panique. J'étais un grand garçon, et tout se passait tellement bien, je n'allais pas de nouveau tout gâché. - Je sais que je suis égoïste, et je comprends tes désirs, je les partages et ... notre nuit ensemble, c'est le plus beau souvenir de ma vie mais ... j'ai besoin d'un peu de temps, de ... Je suis désolé. Je finissais sur un ton misérable, incapable d'affronter son regard même si mes yeux restaient fixés sur ses longs doigts fins. Je ne pouvais pas quitter des yeux, son corps. J'avais honte de me comporter comme une allumeuse, une vierge effarouché, au vu de mon expérience personnelle qu'il connaissait pour en avoir été témoin mais il représentait tellement plus que tous ses visages sans nom. - Toi et moi, c'est spécial ... Le murmure presque inaudible franchissant mes lèvres, avec un léger tremblement au creux des mots.
Lukas T. Andrews
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Je savais que mes réactions étaient injustes même si il m'assurait du contraire, même si il me couvrait de sa tendresse, de son affection, de son amour. C'était un vertige intense et j'avais envie de faire quelque chose pour lui. J'avais envie de lui offrir mon âme sur un plateau, pas seulement mon coeur, mais mon être entier. Parce que c'était l'importance qu'il avait à mes yeux. C'était peut être le plus effrayant, la place qu'il avait dans mon existence. Parce que si je le perdais, je savais qu'il n'y aurait plus rien auquel me raccrocher pour ne pas sombrer. Ne pas embrasser entièrement cette part d'obscurité bien trop importante dans ma chair et dans mon sang. La sensation de son corps contre le mien. Le délicieux contact de sa peau. Je ne voulais pas qu'il doute une seule seconde que si j'avais su mettre mes peurs de côté, je le dévorerais en entier, le consummerait sans lui laisser la moindre chance de ne pas comprendre qu'il était à moi, et que je ne laisserais jamais personne posait les mains sur lui. Si je me laissais complètement aller, c'était renoncer à cette petite voix dans mon esprit qui tentait de me convaincre que de le laisser vivre une vie sans moi, ce serait le plus beau cadeau que je ne puisse lui faire. - quand même à mon âge avoir besoin de son doudou pour dormir... tu te rends comptes? interdiction de rire t'es pas mieux...moi j'ai un petit louloup et toi winnie l'ourson..ah naah..c'est bambi je crois? Je rencontrais son regard, et je sentais mon corps se laissait aller, se détendre et pouvoir affronter et laisser mon esprit renvoyait tous ses mots incapables de franchir mes lèvres. Je laissais mes doigts effleuraient les contours de son visage dans une caresse aimante. Peut être que je ne pouvais pas tout lui offrir, mais peut être que ...
- Babe ... Le sobriquet glissant doucement dans l'espace intime de nos deux corps, un murmure qui résonnait avec tellement de force. Je me redressais légèrement pour aller cueillir sa bouche dans un baiser, langoureux, indolent. Une promesse plutôt que le précurseur de quoi que ce soit. Prendre le temps de le savourer, parce que je ne parvenais pas à m'enlever cela. Je ponctuais finalement notre embrassade, tout en restant légèrement au dessus de lui, notre étreinte nous ayant forcé dans une position sans que je m'en rende compte, lui de nouveau le dos au matelas, et moi le surplombant légèrement. - Je veux faire tout mon possible pour te rendre heureux aussi ... Et j'ai cru comprendre qu'être en couple, çà impliquait des compromis. Je laissais un petit sourire espiègle éclairait mon visage. Alors que je me décalais légèrement pour reposer sur le côté, ma tête appuyé sur ma main, le coude enfonçait dans le matelas. - Et peut être que je ne suis pas prêt à .... Mais on est pas obligé de te laisser complètement frustré, pas vrai ? Je remontais mon regard sur lui, alors qu'à mes mots, je l'avais laissé se balader sur son corps, et que mes doigts avaient trouvé le chemin jusqu'à la ceinture de son pantalon. - Laisse moi, faire ça pour toi ... Ce soir, promets moi juste de me laisser prendre soin de toi sans te soucier de moi ... D'accord ? Je déposais un léger baiser sur ses lèvres, encore un peu gonflé de tous ses baisers que nous avions échangés. - J'ai tellement de choses à me faire pardonner ... Et j'ai besoin que tu m'autorises à le faire, j'en ai besoin pour pouvoir avancer, okay ? Je laissais mes yeux rencontraient le brun des siens et finissait par caresser son cou avec mon nez, avant de ponctuer le tout d'un baiser rapide sur la peau de ce dernier.
Rapidement je me le manipuler de manière à faire glisser le tissu de son bas, à la hauteur de ses genoux, me plaçant entre ses jambes, alors que ma main se faufilait dans une caresse plus intime. Le sentir entre mes doigts, si solide, la preuve de son désir intense, un poids satisfaisant et après un dernier échange de nos regards, je me penchais de manière à le saisir dans ma bouche, le goût légèrement amer de son excitation, une explosion sur ma langue et mon palais. Je laissais ma langue, l'encerclait. Ma bouche se décollait afin de laper avec avidité, la trace de l'effet que je lui faisais. Le voir frémir et prendre un air débauché sous mes soins, une incitation à ma propre ivresse de désir. Mais comme je lui avais dit, il ne s'agissait pas de moi, et même si j'étais dur comme la pierre, je ne laissais pas ma main s'aventurait pour me délivrer de la délicieuse torture de mon propre désir. Je m'occupais de lui, jusqu'à qu'il ne soit plus qu'un pantin, gémissant mon nom et laissant sa main se perdre dans mes cheveux. Jusqu'à ce que le goût de sa propre délivrance n'envahisse le moindre recoin de ma bouche, me laissant exhaler un petit soupir satisfait, un souffle faisant frémir son membre encore sensible. Je finissais par remonter pour lui offrir un baiser, où il pouvait se goûter, exprimant ma satisfaction, et malgré l'érection qui se restreignait dans mon vieux jogging, je ne demandais rien, car je ne voulais rien. Je n'avais pas fait tout cela dans le but de recevoir, et je me contentais juste donc de le reprendre dans mes bras, après l'avoir aidé à se rhabiller un peu pour le coller tout contre moi.