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You're one hell of father ! NIKOLAI&LANA

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Lana V-N. Romanova
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kftw
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arrivé(e) le : 30/05/2013
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MessageSujet: You're one hell of father ! NIKOLAI&LANA You're one hell of father ! NIKOLAI&LANA EmptyDim 4 Aoû - 10:23


Nikolaï & Lana.





Pour une raison obscure Lana n’avait rien vendu depuis... Elle ne savait plus bien mais depuis longtemps. Deux semaines... Un mois... Allez-y riez, mais rien ce n’est même pas une toile, et pour Lana c’était tout de même rare. Elle n’était certes pas la plus grande artiste de ce monde, mais elle se savait plutôt doué, et généralement ses toiles faisaient mouches. Surtout que travaillant dans la galerie de Marla, il arrivait souvent à Marla d’exposer une ou deux toiles de Lana dans l’exposition, et ces dernières faisaient souvent mouche. Donc tout ce temps sans vendre une seule toile était plutôt désagréable tout comme il était louche. D’autant plus qu’elle avait l’impression qu’en ce moment le ciel s’acharnait à tomber sur sa tête. Elle ne parlait même pas de Demyan et du bordel qu’il avait réussit à mettre dans sa tête. Ca c’était presque le cadet de ses soucis. Elle ne voulait plus le voir. Enfin si... Elle en rêvait. Elle ne voulait que ça. Mais justement. Elle ne devait plus le voir. Elle ne devait pas vouloir le voir. C’était ridicule, elle n’aurait jamais du fuir la Russie. Elle aurait du rester à Moscou. Qu’est ce qu’elle était cruche parfois. Depuis le temps elle aurait du savoir que lorsqu’il s’agissait de Demyan elle n’avait pas toute sa tête. Mais on l’avait dit, c’était le cadet de ses soucis. En ce moment tout allait de travers. Il y avait donc Demyan d’une part. Mais elle ne voulait pas en parler. Erwan d’une autre. Mais c’était finit, elle n’en parlait plus. Elle souhaitait juste au fond qu’il lui pardonne, qu’ils puissent devenir ami. Mais ce jour n’était pas levé, on avait pas encore besoin de s’en inquiété. Anthéa avait promis de gardé un oeil sur lui. La promesse de sa meilleure amie lui suffisait à dormir sur ses deux oreilles. Ce qui l’empêchait de dormir sur ses deux oreilles en revanche était les coups de téléphone anonyme au milieu de la nuit. Elle avait d’abord cru à une blague à deux balles de son colocataire. Mais non. Le fait est qu’au moment d’un certain nombre d’appel, ce dernier dormait. Et vu la lourdeur de son sommeil dont elle n’avait jamais réussit à le tirer, c’était un plutôt bon alibi. Elle dormait donc extrêmement mal et avait envisagé de jeter son téléphone et de changer de numéro, mais à ce moment là les appels avait cessé sur son téléphone portable pour se rabattre sur le fixe. Elle avait cru devenir folle, trouvant la blague follement pas amusante. Elle s’était acheté une pair de boule quies, et avait débranché tous les appareils électroniques de la maison avant de dormir. La victoire sur le sommeil gagné elle avait perdu ses clés. Elle ne perdait jamais ses clés... Ce qui lui avait valu de passé plusieurs nuits chez Anthéa faute de pouvoir rentrer chez elle. Car puisqu’elle avait cassé son téléphone portable pour pouvoir dormir tranquille elle n’avait pas réussit à mettre la main sur son colocataire. Un autre jour elle avait loupé le métro - le seul de l’heure parce qu’il y avait des grèves importantes, et aucun taxi n’avait accepté de s’arrêter sur son chemin. Elle avait donc été obligé d’aller à son boulot à pied. Evidement il avait plu, et quelqu’un ou quelque chose avait cassé son parapluie. Un inconnu lui avait ensuite renversé son café dans la rue. Bref si ce n’était pas les dieux qui lui en voulait personnellement elle ne savait pas ce que c’était. Mais le pire. Le pire était que ce matin, sa carte bleu avait été refusé partout ou elle était allée. Pourtant elle était sur d’avoir de l’argent, sa paye lui avait été donné il y a à peine quelques jours. Furax elle avait pris un jour de congé pour pouvoir s’occuper de ses problèmes de banque et remettre son karma en place. Parce que si ça continuait comme ça, elle allait elle même braqué une banque et démonter la tête de chacun des banquiers. Bon peut être pas. Mais peut être les peindre chacun d’une couleur différente.

Elle avait un regard sombre de tueur alors qu’elle marchait dans les rues de la City, cherchant ou pouvait bien être sa banque. Car oui elle n’y avait jamais mis les pieds. Lana n’aimait pas les problèmes d’argent, et si elle était forcé d’admettre que c’était plutôt utile pour vivre, et qu’elle ne serait pas vraiment faire sans, les petits billets et pièce métallique la soulait littéralement et elle n’aimait pas en parler. Si le monde pouvait marché sans argent elle signerait directement en bas de la pétition. Elle marchait sans réellement faire attention à ce qui se passait autours d’elle, et sans trop regarder les personnes qu’elle croisait. Subitement elle s’arrêta au milieu de la route, persuadé d’avoir croisé un visage familier. Elle se retourna cherchant dans la foule une personne dont le physique aurait pu l’interpellé. Elle repartit sur ses pas et mis la main sur un homme qui se retourna surpris. «Désolé... Je me suis trompé...» fit-elle en voyant qu’elle ne le reconnaissait pas. Elle fronça les sourcils et continua son chemin vers la banque. Elle était pourtant persuadé d’avoir vu quelqu’un. L’homme l’avait regardé elle en était sûr. Peut être pas celui qu’elle avait intercepté, mais malgré son absence évidente elle était persuadé d’avoir croisé le regard de quelqu’un qu’elle connaissait. Elle alla donc à la banque pour s’entendre dire que son compte avait été gelé. Quoi ? Elle explosa de rage. Gelé ? Comment ça gelé. D’ou est-ce qu’on gelait un compte ? Lorsqu’il faisait office d’une enquête ! Mais elle n’était suspecte dans aucune enquête ! Elle le saurait peut être si c’était le cas.

Après plus de deux heures de hurlement hystérique et de grand geste dans tous les sens, ou Lana les menaça de toute sorte de chose qu’ils ne purent pas comprendre puisque c’était en russe, on finit par rouvrir son compte, puisqu’effectivement aucune enquête ne la suspectait elle, et que c’était donc visiblement une erreur informatique. Elle sortie furax de la banque, leur promettant de changer de banque dès qu’elle aurait un peu de temps, et l’envie de se faire chiez avec un autre banquier. Alors qu’elle sortait elle tomba nez à nez. Enfin nez à nez. Disons que la personne était sur le trottoir d’en face. Avec quelqu’un qu’elle connaissait bien. Enfin non pas bien, mais qu’elle pourrait facilement reconnaître. Déjà parce que la ressemblance avec Demyan était tout de même flagrante lorsqu’on les connaissait, et parce qu’il avait tout gardé de la posture, du sourire détestable et de la prestance. En le voyant elle comprit tout, et se rappela l’homme qu’elle avait cru reconnaître plus tôt dans la matinée et fut persuadé que c’était lui. C’était forcément lui. Elle traversa en courant, l’accostant les yeux brûlant de rage. «C’était vous ! La banque ? Les coups de fils ? Les toiles invendus ? Il n’y a que vous pour être un tel enfoiré !» fulmina-t-elle à son intention ! «Le métro et les taxi aussi c’était vous ? Le parapluie peut être même ? Et le café ? Mes clés ?» Ok là elle exagérait peut être un peu, mais elle avait l’impression d’être victime d’un mec complètement fêlé en plus d’être mauvais père qui s’acharnait sur elle. «C’est quoi votre problème ? Ca ne vous à pas suffit d’amocher votre fils ? Vous avez besoin de le suivre à Londres et de venir m’emmerder ? Qu’est ce que je vous ai fait ?» Elle avait envie de le frapper, fort, dans les parties intimes, mais il y avait quelque chose chez lui qui l’en empêchait. Peut être parce que c’était le père de Demyan, et que... Elle ne savait pas, il lui faisait un peu peur quand même.
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Nikolaï S. Armyanski
Nikolaï S. Armyanski



mmf
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MessageSujet: Re: You're one hell of father ! NIKOLAI&LANA You're one hell of father ! NIKOLAI&LANA EmptyMer 7 Aoû - 17:20

    Un jeune homme aux cheveux d'ébène s'engouffra dans une magnifique Aston reluisante, le port de tête princier, la mine assurée, vêtu d'un costume griffé de grande classe ; une veste d'un bleu foncé et une chemise blanche dénuée de cravate donnant cet air naturel détaché et si charmeur à ce jeune homme au parfum épicé. L'arrogance se lisait sur son visage, l'agacement aussi également, car suite à quelques appels insistants  de son assistant voulant à tout prix avoir son avis sur un dossier de travail, Nikolaï était déjà en retard pour son rendez-vous. Une fois avoir pris place dans son siège de cuir, prêt à partir et sans nul doute à griller dangereusement quelques feux  pour alléger son retard discourtois, son portable sonna l'arrivée d'un message alors que Nikolai avait déjà tourné les clés dans le cadran de son joli bolide. D'un soupir agacé, Nikolai sortit son portable dernier cri de sa poche, y avisant le texto pourvu d'un "tout est ok" qui fit alors sourire le ténébreux héritier. Rangeant alors son téléphone dans sa poche, il fit ronronner le moteur avant de faire crisser ses pneus et de démarrer en trombe.  Conduisant alors dans une allure folle mais dans une dextérité maîtrisée dans les ruelles de Londres, Nikolai finit par garer son petit bijou dans une ruelle sombre visiblement mal fréquentée. Mais, contre toute attente, là où on se serait attendu à voir les loubards baraqués s'en prendre au riche de première qu'était Nikolai, ces derniers le saluèrent alors dans des grognements amicaux, le genre de salutations dont on a droit dans les bas-quartiers des junkies et des jeunes délinquants et qui sont un étrange signe de reconnaissance. Rangeant ses clés dans sa poche, Nikolai s'avança vers l'homme à la peau noire qui lui avait envoyé ledit texto, un rictus aux lèvres.  Il faisait souvent affaire à ce genre … d’individus pour ses affaires quelques peu malhonnêtes et illégaux. Loin d’appréciait ce genre de comportement malsains et vulgaires, il estimait néanmoins qu’ils étaient compétents pour les missions qu’il assignait.

    NIKOLAI – « Tout a été fait ? »

    Des billets contre une petite enveloppe contenant des photos de sa victime et des nombreuses intempéries qui l’avait accablé durant ses nombreux mois.  Néanmoins la mine passablement inquiète du délinquant poussa Nikolai à se poser des questions, qui arqua alors les sourcils tout en le fixant avec arrogance, l'obligeant à parler. Sans ce faire prier surement de peur des conséquences connaissant le riche héritier.

    DELINQUANT – «  Elle est partie faire un scandale à la banque. On n’a pas pu bloquer sa carte bleue plus longtemps. Mais on l’a tout de même rendue folle : ventes bloquées, appels incessants, objets disparus … Encore un peu et elle sautera surement du dessus un pont»

    D’un signe de tête, il s’éloigna pour rejoindre sa chère voiture. Au bout de deux mois de souffrance et d’une jouissance pour lui, il avait prévu de faire un ultime coup bas avant de dévoiler à la charmante Lana qui était l’homme derrière tous ses mésaventures. Un sourire franchi ses lèvres en imaginant la scène et la rage qui la consumerait. Conduisant dans une allure folle, il arriva très vite devant sa banque. Sur le trottoir en face, il regardait la scène par la vitre d’une manière presque scientifique. Il jubilait. Elle était hystérique et il pouvait entendre ses hurlements d’où il était. Il était fier d’être le responsable de ses mésaventures. Il ne restait plus que quelques minutes avant la confrontation. Les bras croisés, la mine assurée et un sourire arrogant sur les lèvres, il n’attendait plus qu’elle ne le remarque. Puis ses yeux se posèrent sur les siens. Son visage se durcit et elle venait de comprendre. Comprendre pourquoi elle était si malchanceuse c’est dernier temps. Qu’il n’était ni question de destins ou de Dieu mais d’un être plus important : Nikolaï.

    «C’était vous ! La banque ? Les coups de fils ? Les toiles invendues ? Il n’y a que vous pour être un tel enfoiré Le métro et les taxis aussi c’était vous ? Le parapluie peut être même ? Et le café ? Mes clés ?» Le jeune héritier exultait. Pas d'une jouissance arrogante lui procurant extase, ni même d'un bien fondé qui lui permettait de ne pas avoir à s'excuser face à son comportement, mais il exultait d'une vengeance cruelle qu'il ne laissait pas encore paraître, laissant sa voix suave et sensuelle se teindre d'une certaine douceur, autant que ses yeux ambrés fixés sur la demoiselle. « Mais voyons ma chère Lana, je ne te connaissais pas si malpolie. Tes parents ne t-on pas apprit la politesse ? » Nikolai était en vérité sadique et foncièrement rancunier pour vouloir la faire payer de la sorte, il la considérait comme une vermine qui tournait beaucoup trop autour de son fils et de son porte-monnaie. Fronçant alors les sourcils et la toisant à peut-être la mettre mal à l'aise, l'héritier se faisait à la fois méfiant et impressionnable, vêtu ainsi de son costume rappelant les réseaux mafieux, respirant le faste et le pouvoir, se tenant d'une attitude des plus assurées malgré son appréhension certaine. «C’est quoi votre problème ? Ça ne vous à pas suffit d’amocher votre fils ? Vous avez besoin de le suivre à Londres et de venir m’emmerder ? Qu’est-ce que je vous ai fait ?» Le jeune homme se fit alors silencieux, jouant d'une moue faussement peinée alors qu'elle soutenait le regard ambré de Nikolai qui ne la lâchait plus. NIKOLAI- « Tu as besoin d'argent à ce point pour t’accrochais à mon fils comme un chien errant ? » Ou comment comparer la belle demoiselle à une prostituée de luxe... Un peu de sarcasme, cela constitue un excellent tonique sanguin.
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Lana V-N. Romanova
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MessageSujet: Re: You're one hell of father ! NIKOLAI&LANA You're one hell of father ! NIKOLAI&LANA EmptyMer 7 Aoû - 20:26


Nikolaï & Lana.





Lana n’était pas du genre à haïr, à se montrer malpolie ou quoique ce soit du genre. Elle était une femme douce, discrète, et plutôt du genre aimante. Extrêmement fidèle, et tendre, on venait d’avoir la preuve qu’elle pouvait se transformer en une véritable furie. Visiblement les Armyanski savait faire leur petit effet sur la brune. Entre le fils qui la mettait constamment dans tous ses états, voici le père qui savait parfaitement la mettre hors d’elle. Bien sûr ce n’était clairement pas la même chose. Demyan c’était... Demyan. Elle était incapable d’être raisonnable face à lui, et elle perdait toute constance au fur et à mesure que son rythme cardiaque s’emballait monstrueusement. Elle était insupportablement faible face au blondinet. En revanche le père. La c’était une toute autre histoire. Nikolaï Armyansi représentait tout ce que Lana détestait. L’opulence repoussante, la manipulation, l’infidélité, la froideur, le machiavélisme. Toutes ses choses qui avaient certainement poussé à bout Demyan pendant bien longtemps et qui s’était révélé chez lui de la pire des manières possibles. Nikolaï était choqué de ce qu’était devenu son fils ? Du monstre qui grandissait dans sa tête, se dissimulant tel un serpent sous sa peau ? Et s’il se regardait en face et qu’il se disait enfin que c’était probablement lui qui avait fait tout ça. Vouloir le montrer comme une bête de foire, sans lui retourner d’amour, et d’affection. Demyan n’était pas une bête de foire, il n’était pas un enfant prodige sur lequel devait reposé la vie d’un pays, les attentes d’un père fou et complètement vicieux et vaurien. Il était un enfant brillant, qui avait le droit à la vie qu’il voulait. Et au diable le reste. Chacun décidait de ce qu’il faisait de sa vie. Est-ce que ces parents avaient broncher lorsqu’elle avait annoncé son envie d’être peintre, alors qu’elle avait des aptitudes scolaires plutôt hors du commun et que si elle forçait un peu elle pouvait faire ce que bon lui semblait ? Non. Elle ne les avait pas particulièrement remercier pour cette compréhension, mais elle avait des circonstances atténuantes... A savoir la mort de sa soeur, et l’envie d’aller découper en petit morceau Demyan à Londres. Enfin... Revenue à la demi-raison, elle n’en détestait pas moins papa Armyanski, qui avait toujours su se présenter comme un monstre à ses yeux. Et s’il avait su être à peu près mielleux avec Nina à partir du moment ou son fils lui avait annoncé qu’ils étaient fiancé, il avait toujours rabattu sa frustration sur elle, qui payait pour l’affection que Demyan lui portait à elle, mais surtout à Nina. Elle des moins que rien voulant épouser l’un des héritiers les plus influents de la planète Russe. Etait-il con au point de ne pas comprendre que ce n’était pas après l'héritier que Nina et elle en avait, mais après Demyan, avec ou sans sa famille et ce qui allait avec. Principalement sans pour ce qui était de Lana d’ailleurs.

Alors évidemment lorsqu’en sortant de la banque après plus d’un mois de cauchemar en tout genre elle tomba nez à nez avec Nikolaï Armyanski, sourire pédant aux lèvres tout devint clair. Elle n’avait beau n’avoir encore pas eu vent que l’enfoiré avait quitté sa Russie natale pour venir pourrir la vie de tout ceux qu’il croiserait, elle était prête à mettre sa main à coupé, qu’il était là depuis aussi longtemps que ses déboires avaient commencé. Il ne savait pas pourquoi il était venu s’attaquer à elle, et pourquoi il n’avait pas autre chose à faire. Mais vraiment elle avait envie de... Le brûler vif. Et puisqu’elle avait un Armyanski sous la main qu’elle détestait, elle pouvait lui rejeter dessus avidement toutes les fautes de l’autre Armyanski contre lequel elle ne savait pas être fâchée. Elle pouvait lui en vouloir subitement d’avoir tué sa soeur, d’être trop charmeur, de lui avoir fait tourné la tête, le coeur et tout ce qui s’en suit. Elle se fichait bien que ça n’est strictement aucun sens, elle voulait lui en vouloir à mort. Et elle était persuadé que même sans ça il lui donnerait mille raison de le faire. « Mais voyons ma chère Lana, je ne te connaissais pas si malpolie. Tes parents ne t-on pas apprit la politesse ? » Chère Lana ? Elle voulait qu’elle l’assassine ? Elle était sa chère rien du tout. Et il n’avait même pas le droit de prononcer son nom. Il était le diable avec les poches remplies de billet et qui n’était capable de voir que ça. «Ils m’ont appris à être polie avec les gens qui le mérite.» dit-elle le plus froidement possible, se doutant bien qu’il n’y avait rien qui pouvait faire plus plaisir à Nikolaï que son énervement. «Et vous n’avez rien appris à votre fils, et c’est probablement mieux comme ça.» ajouta-t-elle un fin sourire. C’était surement faux, Nikolaï avait du essayer d’apprendre un milliard de chose à Demyan, et peut être que ce dernier en avait garder que ce qui l’intéressait, à savoir les connaissances. Pour ce qui était de l’éducation à proprement parler, il avait du tout foutre aux oubliettes à partir du moment ou il s’état mis à haïr son père. Assez tôt donc. « Tu as besoin d'argent à ce point pour t’accrocher à mon fils comme un chien errant ? » What the hell ? Ce mec était encore plus stupide qu’elle ne pouvait l’imaginer. Etait-il si près de ses sous, et ne voyait-il que ça dans sa vie, pour supposer que son fils n’avait rien d’autre d’intéressant que son porte feuille ? En plus s’il avait observé la vie de la Romanova ses derniers temps, il n’avait pas du beaucoup voir de Demyan dedans. Lana n’était pas exactement la fille la plus proche de lui en ce moment. Pas qu’elle soit fâchée ou quoique ce soit... Mais plutôt qu’elle essayait de soigner ses plaies et d’oublier les sentiments qu’elle avait pour lui et qui n'aboutirait jamais à rien, parce qu’il était le fiancé de sa soeur décédé, et qu’elle s’était décidé à passer à autre chose, et à ne pas être une fille glauque. Fille qu’elle serait de toute évidence si elle sortait avec l’assassin de sa soeur. Qu’il l’est fait exprès ou non. «Je ne m’accroche pas à votre fils comme un chien errant ! Je ne l’ai pas vu depuis des semaines !» True story ! Même si ça faisait assez pathétique à dire. «Ensuite la seule raison pour laquelle j’ai besoin d’argent c’est parce que vous empêchez mes toiles de se vendre et que vous bloquez ma carte bleue... Sinon je vis très bien merci.» Enfin très bien ça ne serait probablement pas de l’avis de l’Armyanski qui roulait sur l’or, mais ça allait très bien à Lana. «Et vous remarquez qu’en cas de problème d’argent je vais à ma banque, et pas à celle de votre fils ou à son porte feuille !» Et NA dans les dents ! «Maintenant vous seriez aimable de cessez d’importuner les gens normaux et bienséant à cause de votre complexe de Crésus et de votre faux amours pour votre filiation.» dit-elle dans un russe soutenue d’une politesse désobligeante. «J’étais assez polie pour vous ?» Echec et Maths !
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Nikolaï S. Armyanski
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MessageSujet: Re: You're one hell of father ! NIKOLAI&LANA You're one hell of father ! NIKOLAI&LANA EmptyMer 4 Sep - 19:10


    La jeune fille s'était redressée, reprenant véritablement du courage face aux paroles bien sincères d’Armyanski. Il était exaspéré face à la famille Romanova, à ce moment précis il aurait bien envie que le Dexter qui sommeille en son fils s’occuper de Lana. C’est à ce demander s’il n’aurait pas été mieux que Lana crève à la place de sa sœur jumelle. Enfin. Ses prunelles satinées étaient  plongées dans celles du sombre Armyanski, elle ne cillait pas, mais était bien naïve de croire qu'elle parviendrait ainsi à faire plier Nikolaï ; avoir des années d'entraînement de paroles cyniques et cassantes derrière soit finissait par payer, et il était évident pour tous que Nikolaï ne la laisserait pas filer ainsi, pas plus qu'il ne la ferait sortir triomphale. Si elle voulait entamer une bataille verbale, alors elle l'aurait, et de ce fait Daddy Armyanski ne se gênerait guère pour l'abattre plus bas que terre. Le regard de Nikolaï se durcit alors, se faisant pénétrant comme il observa le regard ambré de la jeune fille venir le toiser «Ils m’ont appris à être polie avec les gens qui le mérite. Et vous n’avez rien appris à votre fils, et c’est probablement mieux comme ça.» Foutaises... Elle imaginait qu’il était un monstre sadique et machiavélique qui le dédoublement de personnalité de son fils n’était dû qu’à son envie que son fils est un avenir.  Cependant lorsque l'on regardait de plus près, Armyanski n'était pas tant un homme atroce, il était simplement débauché et infréquentable et contrairement aux apparences, Nikolaï pouvait se faire chaleureux et amical, seulement comme tout le monde, il avait ses têtes de turcs, ses personnes qui ne lui revenaient pas, celles qui pour une raison ou pour une autre l'exaspéraient, mais par-dessus-tout, il avait une humeur des plus lunatiques, la provocation dans le sang, et ne manquait jamais de manipuler de temps à autres quelques poupées. Et il était vrai que lorsqu'il détestait une personne, alors il lui pourrissait singulièrement la vie, de manière imaginative et effrayante. Mais de là à croire qu'il était le diable incarné, c'était là une croyance qui le faisait bien rire intérieurement...

    LANA – « Je ne m’accroche pas à votre fils comme un chien errant ! Je ne l’ai pas vu depuis des semaines ! Ensuite la seule raison pour laquelle j’ai besoin d’argent c’est parce que vous empêchez mes toiles de se vendre et que vous bloquez ma carte bleue... Sinon je vis très bien merci. » Nikolaï eut un rire amusé et moqueur, amusé par la tentative de rebuffade de la demoiselle qui visiblement avait encore beaucoup à apprendre. Nikolaï  ne trouvait en sa réplique qu'une envie maladroite de lui renvoyer des paroles à la figure, sans succès. Aussi Armyanski s'en amusa ; qu'il était drôle tout de même de la voir s'emporter pour de paroles si acerbes et qui se voulaient vexantes. «Et vous remarquez qu’en cas de problème d’argent je vais à ma banque, et pas à celle de votre fils ou à son porte feuille ! » Nikolaï soupira, glacé, glaçant, il ne prenait pas même la peine de rentrer dans son jeu, ne la coupa pas dans son élan. « Maintenant vous seriez aimable de cesser d’importuner les gens normaux et bienséant à cause de votre complexe de Crésus et de votre faux amours pour votre filiation. » L'héritier poussa un bref soupir avant de lever son regard intolérant au ciel, d'une moue arrogante et présomptueuse. Loin d'être gentleman, il montrait au contraire son exaspération, plus par provocation que par naturel déconvenue.
    NIKOLAI - « Que de vilains mots qui me font là bien mal. » fit-il dans un sourire amusé tout en conservant sa voix grave et basse. « Vraiment, je t'assure que t'attaquer à ce que tu penses être mon intégrité me touche et je ne risque pas m'en remettre de sitôt... C'est toujours difficile de toucher un point faible qui n'existe pas. »  Nikolaï ne faisait rien pour considérer Lana, ne la voyant que comme une poupée sans âme, il ne se gênait guère pour lui déverser son venin simplement parce qu'elle avait osé s’approcher de son fils.   «J’étais assez polie pour vous ?» .  Silence.  Nikolai s’avança dans un bref soupir, l'air peu engageant et antipathique, remettant nonchalamment son col en place alors qu'il avançait vers la demoiselle sans même daigner poser son regard sur elle, ses rétines posées sur un point invisible au loin. Ce ne fut que lorsqu'il passa la silhouette délicate de la jeune femme que Nikolaï se retourna, toisant sans discrétion aucune mais brièvement, la jeune fille de haut en bas comme pour juger sa tenue vestimentaire. « Suis-moi »  furent les seules paroles données alors à son encontre, d'une voix grave et basse, accompagnées de ce regard trop méprisant, avant de reprendre avec un petit sourire au coin des lèvres « Oh je suis surement pas assez poli pour toi, princesse … » Accentuant avec sarcasme sur le dernier mot, comme pour en ajouter sur ce côté précieux qu'elle n'avait pourtant pas, avant de désigner d'un geste chevaleresque ma magnifique Aston. « Entretenons-nous en tête à tête. Les grands espaces me donnent le tournis. »
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MessageSujet: Re: You're one hell of father ! NIKOLAI&LANA You're one hell of father ! NIKOLAI&LANA EmptyMer 11 Sep - 18:10


Nikolaï & Lana.





Lana n’était pas faite pour être méchante. Elle était généralement douce, agréable, et avait plutôt bon caractère. Peut être était-elle légèrement excitée et impulsive, mais c’était ce qui donnait du charme à la glace, le feu sous la roche. Lana ne détestait pas. Ou peu. Et quand bien même elle le faisait, elle se laissait aisément convaincre de revenir sur ses sentiments. Ou alors c’était parce que la seule personne qu’elle avait réellement haït était Demya, et que Demyan... Ne valait mieux pas continuer sur ce chemin. Quoiqu’il en soit, il y avait bien une personne, sur la terre entière, que Lana ne pouvait pas supporter, et qui représentait tout ce qu’il y avait de plus haïssable en ce bas monde. A dire vrai, la Russie était pleine de ses Oligarques qui avaient su tirer leur épingle du jeu lorsque l’époque ne semblait pas le permettre, et qui dédaignaient le petit peuple, prenant un malin plaisir à les humilier et à ce reproduire entre eux. Pensait-il être meilleur que les autres ? Surement. N’avait-il pas suivit de court d’histoire dans leur éducation si parfaite, pour savoir que ce genre de comportement, qui rapporte peut être gros pendant un moment, nous amène généralement à finir très mal ? Mais bien sûr, le pire avec ces gens détestables et peu aimable, c’était qu’il n’y avait rien que Lana puisse faire, ou dire, pour leur faire entendre raison. Ils étaient tous branché sur leur propre ligne de radio, et personne ne pouvait interférer avec leurs ondes. Surtout pas une pauvre fille comme elle pouvait l’être, qui n’avait jamais su rentrer dans leur viseur, excepté lorsqu’il s’agissait de lui acheter une toile. Et là encore, on voyait plus son coup de pinceau qu’elle même.

Mais aujourd’hui Armyanski était aller trop loin. Elle avait beau rêver dans ses rêves les plus fantasque porter ce nom, non pour la fortune et la place dans le monde qu’elle offrait, mais pour la personne qu’elle aurait à ses cotés alors, l’idée de pouvoir avoir cet homme comme beau père un jour, lui faisait réfléchir à deux fois à ses rêves stupides. Sans compter l’histoire que Demyan avait déjà été fiancé avec sa soeur jumelle, et qu’il n’y avait pas moyen que Lana ne détrône la place bénie par sa soeur. Elle ne saurait être aussi monstrueuse. Enfin, elle jaugea l’homme qui lui faisait face avec une moue mauvaise, sa gorge s’asséchant et brûlant sous le joug de la haine montante. Comment un tel homme avait-il pu engendrer un tel fils ? Elle était bien incapable de reconnaître dans le père un seul des traits qu’elle idolâtrait tant chez le fils. Et puisque le fils haïssait le père, elle pouvait, sans grand cas de conscience faire... Elle n’en avait aucune idée. Elle avait beau avoir probablement tous les droits sur le père du jeune homme, hormis ceux qui lui était prohibé par la lois évidement, elle ne savait pas quel châtiment elle pouvait lui réserver. Les mots semblaient glisser sur lui comme de l’eau sur des mains grasse, et les actions n’arriveraient jamais à la cheville de celle qu’il pourrait mettre en oeuvre en échange. Son cerveau pédalait à tout allure, cherchant bien quelque chose pour pouvoir réagir et ne pas être obligé de s’écraser devant un tel homme. Jamais elle ne serait l’une de ses servantes, de ses esclaves, une de ses filles qui respectent les grands pour leur grandeur alors qu’eux ne respectent personne. Lui pensait avoir un certain standing ? Elle était sûre de répondre à certaine valeur qu’il ne lui reconnaîtrait jamais.

« Que de vilains mots qui me font là bien mal. » Lana grimaça, détestant son ironie à peine dissimulée. Elle l’emmerdait. Oui c’était bien le mot. Elle l’emmerdait. Mais le dire ne ferait qu’ajouter à son bonheur et à son envie de rire probablement. Il devait aimer voir les gens impuissant devant lui. « Vraiment, je t'assure que t'attaquer à ce que tu penses être mon intégrité me touche et je ne risque pas m'en remettre de sitôt... C'est toujours difficile de toucher un point faible qui n'existe pas. » Cet homme était monstrueux. Personne ne devait s’autoriser à être ignoble et devait apprécier ce trait de sa personnalité. Il se rhabilla furtivement avant de passer devant elle. Il pensait aller ou de là sorte ? S’échapper ? Jamais. Elle avait deux mots à lui dire. Outre le faite de l’obliger à arrêter de l’emmerder... Peut importe comment elle devait s’y prendre. « Suis-moi » «Excusez moi» demanda-t-elle outrée par le ton employé... Elle était quoi au juste ? Son chien ? Son lapin peut être... « Oh je suis surement pas assez poli pour toi, princesse … » Lana grimaça à nouveau. Pensait-il faire preuve d’une nouvelle politesse en l’appelant de la sorte ? Probablement pas. Chaque mot raisonnait chez lui comme des insultes cuisantes. Elle le haïssait. «Don’t Princess me !» lâcha-t-elle dans un anglais parfait, alors que le reste de la conversation avait lieu dans leur langue natale. Elle ne savait pas bien pourquoi l’anglais avait pris le pas sur le Russe, mais ça semblait avoir légèrement plus de force. «Même si je possédais le titre je ne voudrais pas l’entendre de votre bouche.» Et après tout, bien que ça n’est aucun rapport, elle avait tout de même un nom de princesse. Hérité dont ne sait ou par ailleurs. Elle suivit la main de L’homme jusqu’à la voiture. Et écquarquilla les yeux en entendant les mots effleurer ses lèvres. « Entretenons-nous en tête à tête. Les grands espaces me donnent le tournis. » L’homme avait-il fumé ? Pensait-il réellement que Lana allait accepter ? Monter sagement dans une voiture qui lui donnait déjà envie de vomir et qui avait probablement écrasé des innocents ? «Et bien vous allez devoir vous habituer au tournis. Je ne montrais jamais dans votre précieux bijou... J’aurais peur de le salir.» finit-elle brûlante de sarcasme. Le pire c’est qu’il devait probablement penser la même chose. «De plus je ne souhaite pas m’entretenir avec vous. Les discussions réciproques ne sont pas votre fort, et cela me déplairait beaucoup de devoir vous entendre parler tout seul.» Elle savait bien que rien de ce qu’elle dirait ne l’atteindrait, néanmoins certaine chose devait être dites, pour sa conscience du moins. «Je n’aurais que deux choses à vous dire. Laissez moi tranquille. Je n’ai rien fait pour venir vous froisser. Laissez Demyan aussi, il est mieux sans vous.» Nikolaï allait probablement jaser. Elle s’en fichait. «Et au cas ou vous ne seriez pas enclin à m’accorder ces deux minuscules demandes, sachez que je peux toujours sorte de vous froissez, et d’atteindre à votre précieux noms, bien que ça me soit extrêmement désobligeant.» Tant de politesse l’écoeurait. Surtout si c’était pour parler à cet homme. Mais il fallait le faire... Quand à ses menaces, elle pensait chaque mot qu’elle avait prononcé. Bien sûr, elle ne pourrait rien faire sans l’accord de Demyan... Mais peut être que la menace suffirait. Enfin surement pas. Mais ça valait le coup d’essayer.
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