Jour de repos, enfin pas tant que ça. Disons surtout que je travaillais à la maison. Le FBI n’avait pas besoin de moi aujourd’hui et il me fallait bien parfois des jours de repos. Trop de travail tue le travail. Je travaillais néanmoins sur les dossiers de deux patients – deux cas – et mon second livre sur cette fois-ci ma psychanalyse des contes de fées, un fait bien intéressant. Bref, je m’installais sur ma terrasse, le soleil se posant sur ma peau blanche. Portable et ordinateur posé sur la table de la terrasse. Mon petit chiot allongé à mes pieds. Il a été à plusieurs reprises était prouvé que les animaux avaient une tendance rassurante et thérapeutique. Selon les cas que j’avais eus en face de moi, qu’on avait demandé d’étudier, j’avais souvent utilisé la douceur et la gentillesse d’un animal. Du coup je m’étais décidé à adopter un petit chiot, un croisé berger-australien j’avais eu le coup de cœur pour cette boulette. Il m’avait regardé avec ses yeux de peu cher et le voilà depuis un mois à mes pieds et me déstressant et me donnant tout plein de reconnaissance de l’avoir sauvé d’année de refuge. Et puis il avait la belle vie. Chez moi les animaux étaient acceptés, tous, j’avais une femelle un peu sauvageonne mais que j’arrivais à caresser qui était venue faire ses petits dans mon jardin pas de soucis. Et j’avais mon gris du Gabon. Bref après plus de trois heures de travail. Je m’octroyais une pose. Je préparais mon repas et je mangeais. Et j’envoyais un message à Prim’, j’avais envie de profiter de mon repos, même si le travail, et la découverte de plus en plus de chose, l’envie de remplir encore plus mon cerveau m’obsédé presque, parfois le repos était vital.

Les petits chemins. J’étais sportive et j’appréciais me promener ici. J’étais là et j’attendais la belle Prim’. Les gens s’engageais dans les petits chemins et je l’ai observée tous. Une famille qui semblait si parfaite et qui ne l’étais pas autant que ça, je pouvais le voir dans la gestuelle des parents. Puis ce jeune couple, la fille était folle amoureuse du garçon ça s’est sûr est certain, son envie d’être toujours coller à lui, un besoin d’attention, d’affection, et lui comme il l’a prenait dans ses bras, certain il ne l’aimait pas plus que ça. Et tant d’autre chose. La gestuelle, le regard, la façon d’être, de se comporter. Tout ça vous rendait l’être humain comme un vrai livre ouvert. Puis mon regard se posa sur la jolie blonde que je connaissais bien. Et c’était partie pour une après-midi de folie. Quand elle fut près de moi, un grand sourire se posa sur mes lèvres et je dis « Bonjour Prim’ ! Comment vas-tu ? ». J’étais contente de la voir et de pouvoir passer du temps avec elle, c’était toujours constructif et amusant. L’intelligence, notre principale point commun, même si nous en avions d’autre. Nous on rigolait bien, les autres certainement un peu moins.