COLEEN NELYSSANDRE RHOSDALE.

SPIRIT OF ADVENTURE ※ Candice Accola

COLEEN NELYSSANDRE RHOSDALE. -plus souvent connu(e) sous le nom de NELYSSANDRE OU NELY est née le 13/05/1986 à New Rochelle, États Unis et a vingt-cinq ans. Elle est de nationalité américaine et est issue d'un milieu moyen. Elle est attirée par les hommes. Elle est célibataire.

Pourquoi avez-vous décidé de venir à Yellowsky ? J'ai toujours aimé les nouvelles expériences, et celle-ci en est une belle. J'ai toujours été curieuse. Voir ici, un tas de gens rassembler par une seule personne et des critères tellement différents. C'est une expérience unique en son genre, et il ne faut pas perdre de temps avant de l'attraper au vol. Pourquoi pensez-vous devoir y être acceptée ? J'ai toujours été assez douée en photographie, et mon père m'a transmis son goût pour les voyages. Du coup, j'en ai fait mon métier. Reporter-photographe. J'ai pas mal voyagé, roulant ma bosse. Captivée par tout ce qui se passe autour de moi, cette expérience serait une de plus, à ajouter à mon actif. J'aime étudier de nouvelle choses, les tester, j'adore les défis. L'esprit vif, je parles couramment plusieurs langues comme le français, l'arabe, l'hindi etc. → Aucun minimum de lignes n'est exigé. Soignez bien votre orthographe, soyez clairs et précis et ce sera parfait .

Hello ! Moi c'est Lemon, j'ai vingt ans et je suis une femme. J'ai connu le forum par PRD et je pense pouvoir venir minimum 2j/7j si je n'ai pas ma clé 3G, sinon, 7j/7j.. Ce que je pense de Nitwittedly Yours ? .

© TUMBLR pour toutes les images.

CHAPTER ONE

« Félicitation ! C'est une fille ! », déclara la sage femme, à mes parents. Ils avaient voulu garder le mystère jusqu'à la dernière seconde. C'était juste histoire de pouvoir se chamailler un peu sur le choix des prénoms. Je crois qu'ils auraient été capable de me prénommé Jésus si j'avais trop tardé à venir. Heureusement pour moi, je suis née pile à la date prévue. Déjà réglée comme une minuscule horloge ! Bref, c'est ainsi que je commençais mon entrée dans le monde, en comblant de bonheur mes parents. Me voici, moi, Coleen Nelyssandre Rhosdale, née à New Rochelle, le treize mai 1986. J'ai aussi dans un univers de bisounours, j'entends par là que malgré les difficultés, mes parents ont toujours gardé leur optimisme et bien sûr, un amour dégoulinant et un peu niais, je l'avoue. Mais cela m'a toujours fasciné, au moins, ils étaient différents des parents de mes amis. Au moins, ils ne se déchiraient pas sous les yeux de leurs enfants ! Mon père était militaire, et ma mère était couturière. Elle avait une affaire qui fonctionnait bien, uniquement par le bouche à oreille. « Maman ! Maman, Ana m'a invité à son anniversaire ! », hurlais-je, à travers la maison, un jour, en rentrant de l'école. Qui disait anniversaire d'une fillette de sept ans, disait déguisement et tout le toutim. Je me rappelle du jour de l'anniversaire, je suis arrivée déguisée en princesse – classique, je sais – et la robe de ladite Ana n'avait même pas fait le poids. Ces futilités étaient tellement importante sur le moment ! Toute mon enfance se passa sans un seul accrochage majeur, sauf le jour de mes huit ans, où mon père nous a annoncé que nous devions partir pour Hawaï. J'ai eu l'impression qu'une pierre me tombait dans l'estomac. Que deviendrais-je loin de ma bande de copine ? De ma ville natale ? J'ai refusé de partir, je n'ai plus parler à mon père pendant un mois, persuadée qu'il était le seul responsable de ce malheur. Puis, est arrivé le jour du déménagement. Quand j'ai vu les cartons embarqués par les déménageurs, je n'ai pas réussi à réaliser, que c'était le jour J. J'étais un peu en transe, je dois l'avouer. « Ma chérie, monte dans la voiture. », dis doucement ma mère. Une fois montée à l'arrière de ladite voiture, je ne pus m'empêcher de regarder en arrière. Une larme coula sur ma joue alors que je regardais une dernière fois la maison de mon enfance. J'ai passé mon trajet avec la joue sur la fenêtre, en me rappelant les souvenirs que j'avais vécu là-bas, et en me remémorant, ce que mes amies n'avait eu de cesse de me répéter, jusqu'à mon départ. On s'écrira souvent et on se téléphonera, ce sera comme si tu n'étais pas partie. C'est ainsi, que j'ai commencé ma vie, par des voyages. Pas d'accroches, sauf la famille. Puis, je suis montée dans l'avion, et me suis endormis. Je ne me suis réveillée qu'une fois débarquée, dans les bras de mon père. « Une nouvelle page de notre vie commence ma Nely ! », chuchota ma mère, au creux de mon oreille, le sourire aux lèvres. J'ai donc ouvert les yeux et là, j'ai vu. J'ai été aspiré par la plage, le sable, le soleil. J'étais loin de l'éternelle grisaille de New York, et du port de New Rochelle ! Je ne peux pas vous dire que quand j'ai vu tout cela, j'ai trouvé cela magnifique. Ce serait mentir, mais pourtant, j'ai réussi à me sentir chez moi. Une fois que j'eus mis un pied dans notre nouvelle maison. Nous étions arrivée dans la période avant les vacances de Noël, je n'eus que trois semaines pour m'acclimater. Pourtant, la rentrée des vacances est vite arrivée, et une nouvelle dans l'école en cours d'année, cela ne passe pas inaperçu surtout lorsque celle-ci n'est pas spécialement bronzée et blonde de surcroit. Je me suis sentie comme dans un rêve où j'arrive à l'école en pyjama. Tout le monde ne cessait de me dévisager. Bien que dans l'ensemble, les enfants m'ont bien accueillis. Pas de bousculades dans les couloirs, pas d'humiliation. J'avoue avoir eu peur le soir avant la rentrée. Je ne voulais pas être le souffre douleur, ou la tête de turc. Peut être que ma douceur, et ma gentillesse y sont pour quelques choses ? Je n'en sais rien du tout ! Cependant, je n'ai pas mis longtemps à m'adapter à cette vie, deux mois plus tard, j'avais quelques amis. J'ai donc continué mon chemin à travers la vie. Mes parents se sont bien acclimater, eux aussi. Mon père aimait beaucoup ses collègues, tout les soirs, il rentrait dîner avec nous alors qu'à New Rochelle, il n'était pas rare que nous devions nous accoutumer de son absence, et ma mère s'était relancé dans la couture. Ce fut l'époque du lycée et de l'adolescence qui sont arrivés sans crier gare.

CHAPTER TWO.

L'adolescence est arrivée en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. J'ai commencé à toucher à tout, sex, drogues et rock'n'roll. Ça vous dit quelque chose ? Je séchais les cours pour aller me fumer un petit joint ou vaquer à d'autres occupations. Puis, je fis la rencontre de Hazel, une fille un brin bagarreuse, pourtant si attachante. Malgré ses ruades aux premiers abords, j'ai vite compris qu'elle avait besoin d'attention. Nous voilà, formant un duo de la mort. Mais le destin avait choisi de nous envoyer un dernier membre pour cette famille de bras cassé ! Lloyd, le plus difficile a approcher à cause de son sale caractère. Il est arrivé dans notre classe. Bien que je séchais souvent les cours avec Hazel, je l'avais remarqué, il était plutôt mignon d'ailleurs – il l'est toujours cependant –. Je me souviens encore de la première fois que je lui ai parlé. Cela n'a été très agréable. Je m'étais posté face à lui, à la fin d'un cours, le sourire aux lèvres. "Salut, je me présente, je suis Nelyssandre !", avais-je commencer. Il m'avait regardé bizarrement, comme si j'étais une extra-terrestre ! Comme il ne répondait pas, je ne me suis pas laisser démonté. "J'ai vu que tu étais nouveau, si tu a besoin d'un guide, surtout n'hésite pas, je serais ravie de t'aider !". Et là, il s'est mis à ricaner. Carrément, comme ça, genre il pète un câble. "Ça marche d'habitude ton numéro ? ", le tout sur un ton acide au possible. Les joues rosies, je m'étais éclipsée dans un sourire que je voulais ironique. Je m'étais sentie bête sur le moment et j'avais baissé les bras, devant ce cas désespéré. Du moins, c'est ce que je croyais. A la sortie des cours, Lloyd s'était frotter avec des brutes épaisses du lycée. Je m'étais arrêté pas très loin d'eux. "Il semblerait que le petit nouveau ne soit pas très docile ! Alors le cas social, t'a rien à dire ?""OH TU VAS LA FERMER TA GRANDE GUEULE !", hurla Lloyd. J'inspirais, et me plaçais entre les deux brutes et Lloyd. Celui-ci s'apprêtait à frapper, tremblant de rage. " Foutez-lui la paix ! Vous avez rien d'autres à faire ? ", m'écriais-je. Les gros durs ricanèrent et l'un d'eux m'empoigna le bras. "Jolie poupée, pousse-toi de là.". Je m'étais alors dégagée d'un geste vif et lui avait administré une belle gifle. Le bruit resta suspendu quelques secondes dans l'air. Ils battirent en retraite en lâchant un "Sauvé par une fille, ridicule !". Je m'étais alors retournée, j'avais peur qu'il se mette à hurler ou quelques choses dans ce goût là. Il s'est contenté de me sourire en guise de remerciement. Il m'a raccompagné chez moi, le jour suivant il a rejoint la bande. Nous formions à présent une véritable famille, des amochés des sentiments mais une famille. Après le lycée, je suis entrée à l'université de Columbia, grâce à mes notes. Je pus ainsi, étudier le journalisme et en tirer un excellent diplôme. Quelques temps, plus tard, je m'engageais comme journaliste reporter-photographe.

« Tu vas où comme ça? », me demanda Lloyd d'une voix ensommeillée, me retenant par le bras. Je venais de me faire choper, entrain de prendre la fuite. Je fixais sa main sur mon poignet comme une idiote. Pas encore partie, à moitié assise sur le lit. Habillée, et mes chaussures à la main. Je ne savais pas quoi répondre tellement, je me sentais bête pour le coup. « J'avais des trucs à faire, je voulais pas te réveiller. », dis-je doucement, en essayant de tirer mon poignet de sa main. Je fis une moue innocente, même si je sais pertinemment, qu'il ne gobera pas ça. Je n'étais pas une fille qui avait des relations durable, il m'arrivait d'avoir des aventures, parfois. Je n'étais pas faite pour aimer quelqu'un, je suis très bien toute seule. « Ça peut pas attendre ? », continue t-il. Il était à moitié recouvert par le drap de son lit, nu comme un ver. Je me mordis la lèvre, et fis signe que non. Il me tira alors, me faisant basculer sous lui. M'embrassant dans le cou, ses lèvres contre ma peau, légères comme un papillon. Il était tellement parfait. Doux, attentionné et me procurait des sensations, que jamais je n'avais ressenti. Il me donnait tout, il me comblais. Il savait comment me faire tomber sous son charme, pourtant, il était hors de question que je lui en touche un mot. Sur ça, ni sur ce que je peux bien ressentir pour lui. C'était comme si il avait les clés de ma personnalité. Seulement, il n'était pas seul. Il restait avec cette pimbêche, fille que ses parents ont décidé de lui attribué, en tant que future femme. Cependant, je ne ressentais pas de remords, lorsque je l'appelais ou lui envoyais un texto pour partager son lit. C'était lui aussi venait vers moi. Il avait besoin de moi comme j'avais besoin de lui. « Il faut vraiment que j'y ailles. », fis-je, d'une voix douce. Je scellais rapidement mes lèvres aux siennes, dans un baiser court et éphémère. Le lendemain, je partais en Australie, à la découverte des peuples aborigènes. Laissant Lloyd, derrière moi ainsi qu'une lettre lui étant destinée.

CHAPTER THREE.

Après avoir parcouru le monde. Je suis revenue auprès d'Hazel, ma meilleure amie. Après sa dépression, et sa tentative de suicide, je suis revenue pour elle. Et parce que je voulais qu'elle retrouve une vie normale, du moins stable. A mon retour de New York, je réussis à me trouver un job, dans un petit journal. Ce n'était pas comme si j'écrivais pour le New York Times, mais au moins, cela permettrait de payer les factures ! Et alors que je parcourais le web, pour mon papier de demain. Je tombais sur cette annonce :
Intégrez Yellowsky, le plus prestigieux des quartiers britishs, le lieu où tout est possible et où vous pourrez débuter une nouvelle vie hors du commun ... Cliquez pour en savoir plus. Et qu'ai-je fait ? J'ai cliqué. Et je suis tombée sur cela : Yellowsky est un quartier huppé de la capitale britannique créé dans l'unique but de réunir l'élite du monde. Les candidatures sont scrupuleusement examinées par Madame, origine et tête pensante du quartier. Ainsi, les habitants sont triés sur le volet et viennent de chaque coin du monde … Et votre vie à Yellowsky ne dépend que d'une personne : vous.. N'étais-ce pas ce que je voulais ? Changer de vie, et celle d'Hazel ? Rien de mieux, que cette nouvelle expérience. Et pourtant, je n'en parle pas de suite à cette dernière. Je cogites toute seule dans mon coin, sur cette opportunité qui s'offre à nous. Oublier le passé pour Hazel, continuer à vivre de nouvelles expériences pour moi. Ce n'est que deux semaines après que j'imprimais les dossiers de candidatures et en parlais avec Hazel.  « Hé, c'est prés à table ! », criais-je à ma colocataire. Elle arrivait, le teint pâle, ce qui me conforta dans l'idée de partir d'ici.  « Dis-moi, ça te dirait de te tirer d'ici ? », continuais-je. Elle me regarde comme si je débarque d'une autre planète, et le tout accompagner d'un rire.  « Je suis sérieuse, Haz' », insistais-je. Elle me regarde et cesse de rire.  « Comment ça, ton patron t'envoie ailleurs ? », me demande t-elle. Je fais non de la tête et dépose les dossiers sur la table, à la place de la casserole de pâtes.  « Lis et dis-moi, ce que tu en penses. », lui proposais-je. Le soir même, elle vint me voir dans ma chambre.  « Je veux y aller, Nely. Mais qu'est ce que je vais mettre dans la case 'don' ?», me demande t-elle. Ce fut à mon tour de rire.  « Qui est allée à Julliard, et qui a été diplômée avec les honneurs parce qu'elle est extrêmement douée au piano ? ». Nous rions de concert, et voilà, nous nous embarquions vers l'aventure. Je me rappelle aussi la tête que j'ai eu face à la lettre – les lettres – d'admission à Yellowsky, comme si j'étais acceptée à Columbia pour la deuxième fois ! Nous avons fait la fête toute la nuit, Hazel et moi. Enfin, une pure et bonne nouvelle.

Before departure, New York.
En revenant, j'ai retrouver Lloyd, celui qui manque cruellement à ma vie. Je suis encore amoureuse de lui, mais quand je le vois, je ne dis rien. Je ne veux pas souffrir, pourtant je m'inflige une souffrance seule. Je voudrais qu'on devienne un couple, un vrai, pourtant, je suis bien trop paralysée par ce sentiment de peur qui me caractérise, mais aussi à cause de ma fierté pour franchir le pas. Et oui, la vie n'est pas un long fleuve tranquille. Lloyd est ma famille, mais je ne le considère pas comme un frère. Et oui, c'est pour lui que mon cœur bat dans ma poitrine, que mes mains tremblent et que mon sourire ce fait niais. J'aimerais de nouveau sentir ses bras autour de moi, comme si rien ne pouvait nous séparer. Je crois qu'il veut la même chose que moi, mais je ne veux pas me faire d'illusion. Pourquoi, je crois cela ? Simplement par rapport à la dernière soirée que nous avons passé ensemble. J'avais organisé un diner pour nous trois, dans mon appartement, fêtant mon départ et celui d'Hazel vers Yellowsky. Nous étions dans la cuisine, il m'avait aider à ramasser les verres à apéritifs, pendant qu'Hazel était au téléphone dans la salle à manger. Face à face, le nez dans le lave-vaisselle. "Alors il est pas là ton chippendale, ce soir ?", dit-il d'un air narquois. Je me redressais et lui lança un regard noir, il faisait référence à mon dernier petit ami, Lennon. Je soupire."Non. Il semblerait que tu l'ai fait fuir avec l'aide d'Hazel et de toutes façons, cette soirée était pour nous trois.", répliquais-je. Je ne savais pas la teneur de la conversation que Lloyd, Hazel & Lennon avaient eu, mais il semblerait qu'elle n'avait pas été agréable et Lennon, m'avait plaqué. Lloyd se redressa à son tour, me fixant. "Quoi tu n'est pas content du résultat ?", je ne pus m'empêcher d'ajouter. Il ferma le lave-vaisselle et s'approcha de moi. "Tu est en colère.", dit-il en ignorant ma question. Je le fusille du regard. "Ça se voit tant que ça ?", dis-je d'un ton ironique. "Il était pas pour toi, ce type ! Ça se voit comme le nez au milieu de la figure !", s'énerva t-il. Je ne pus m'empêcher de ricaner. "Comme tout les derniers petits copains que je vous ai présenter très cher.", exultais-je. Pour toute réponse, Lloyd s'approcha de moi, replaça une mèche de cheveux derrière mon oreille. Il caressa ensuite ma joue, comme pour m'apaiser, le regard intense, celui qui m'avait fait craquer. Je me dégageais promptement et retournais auprès d'Hazel, non sans un regard noir.

Le lendemain, Hazel et moi, arrivions à Yellowsky, ayant toutes les deux soifs d'une nouvelle vie. Tout à l'heure, je vous parlais de ma réaction face à la lettre d'admission ? Ouais, et bien ma tête était similaire, voire pire, lorsque je suis arrivée à Yellowsky. D'une, j'étais dans Londres ! De deux, j'allais vivre une superbe aventure avec ma meilleure amie et de trois … ce quartier était totalement génial ! Des gens aussi différents les uns que les autres, et une ville à l'intérieur de la ville quoi ! Totalement, in-cro-ya-ble. Et Hazel, était du même avis …

Bienvenue à toi Nely ♥

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Très bon choix d'avatar, Candice est sublime