Nom : Kerenski - Prénom(s) : Alexei, Dimitri. il utilise juste Dimitri.- Âge : 26 Ans - Date et lieu de naissance : 18 Juin 1987 à moscou.- Nationalité : Russo-anglaise.- Situation sociale : entre modeste et aisé.. faut dire qu'il cumule deux jobs.. - Sexualité : Zelda sexuel. - Vie amoureuse : trop complexe. - Emploi, études : Pour la plupart des gens, il est courtier en bourse . Ouais aussi banal que ça. En vrai il travaille pour une riche famille russe en tant que garde du corps..homme de main serait le bon terme.


Pourquoi avez-vous décidé de venir à Yellowsky ? J'ai rencontré une femme, il y a longtemps, j'en suis tombé amoureux, et on a finit par se perdre de vue. elle n'a jamais su et ne le saura jamais.. La famille que je protège habite dans le quartier et m'a fait suivre, quand j'ai su qu'elle y était, j'ai accepté. Aussi pour retrouver ceux qui m'ont abandonné.

Et votre particularité, c'est quoi ? La famille russe qui m’a « formé » a fait de moi une arme pure et dure. They made me. On me l’a souvent rappelé. Je n’étais qu’un sous fifre. Ce qu’ils pensaient. Il fut bien aisé de profiter de l’enseignement que j’avais reçu. J’étais différent. Je n’étais plus ce gamin, j’étais une machine. Pas forcément le gout à tuer, mais j’étais capable de le faire. Les armes, blanches ou à feu. Les arts martiaux. Tout ça, c’était mon dada comme diraient certains. J’étais capable de m’adapter, très facilement. Manipulateur, je savais arriver à mes fins sans que les gens ne découvrent qu’on les avais dupé. Je pense que c’est sans doute ça que Madame a aimé. Je sais oh combien d’une belle façon, jouer de mes charmes et de mon air d’ange. même s'ils sont aujourd'hui plus une famille que des employeurs.

Comment vous définiriez-vous ? Je suis ce qu’on appelle un faux semblant. Je suis capable de vous montrer uniquement ma facette adorable, charmeur, séducteur, attachant, doux, généreux. Et vous n’y verrez que du feu. Mais en général, j’ai un but précis. Plus jeune j’aurais pu être un charmant jeune homme, croquant la vie à pleine dents. Mais on m’a ôté ce choix de vie, ce choix d’être. Je suis devenu ce qu’on nomme un monstre. Un homme qui n’a peur de blesser, extorquer, manipuler pour obtenir ce qu’il veut. Une âme errante qui ne cesse de vouloir vengeance sur tout et n’importe quoi. Je n’aime ni ma vie, mon existence ni moi-même. Je hais, je suis haine. Et pourtant je suis capable de m’attacher. Certes à peu de gens, mais ça m’arrive. Je suis passion, je ne vis que d’émotions, souvent destructrices. La demi-mesure n’est pas chez moi. Je peux être violent dans mes mots comme dans mes actes. Je ne suis que colère. Je peux être maniaque à l’extrême, comme mettre un foutoir par possible là où je passe.

Mes parents n’ont a priori pas voulu de moi. Ou pas. J’en sais foutre rien. Parce que je n’ai jamais compris ce qu’était ma vie. Un beau bordel je vous l’accorde. Le mot est juste, puisque ma mère offrait son corps à de parfait inconnus moyennant payant. Bon ça, je l’ai su bien plus tard. Je l’ai découvert. Mais bon tout ce qui relève de mon enfance est si floue que je ne m’y attarde pas. Si vous saviez ça, vous aussi vous préféreriez ne pas savoir. Ne pas réfléchir, ne pas penser, ne pas être. L’art de s’effacer, disparaitre dans le vent en somme. Je suis et je ne suis pas. Après tout, j’ai finis par comprendre que je n’étais qu’un déchet. Bien utile parfois cela dit. Moscou ou la ville froide, meurtrière.

Adopté par un couple de Londres, je commence une nouvelle vie. Des gens que je ne connais, j’apprends à dire maman et papa. A salir leur magnifique moquette de boue et d’autres saletés. « Ce gamin n’apprendra jamais. » Dit mon « père » à ma « mère ». Je n’ai jamais comprit pourquoi dès qu’ils eurent leur gamin, moi je passais directement aux oubliettes. Je ne devais pas être assez intéressant. OU assez beau. Je ne sais pas.
J’étais devenu un bien que les gens prennent, revendent, jette. Un objet. Je n’étais pas humain, ou du moins, n’en avais plus les droits. Avait-on le droit de disposer d’un être ainsi ? Je n’étais pas sur. Pourtant, personne ne avaient l’air de s’en formaliser pour autant.

Avant qu’une famille veuille de mes services je fus livré à moi-même. La rue était mon refuge, mes racines. Je ne savais pas réellement de quoi j’étais ou même si j’étais bon à quoi que ce soit. Ce fut par pur hasard qu’à seulement dix sept ans je fus recruté pour un combat de rue. Au départ, ils avaient pensé à moi comme chair à canon. Ils ne pensaient pas que je survivrais un round. Ce jour là la colère, la haine furent mes amies. Je lâchais tout ce que je ressentais sur mon adversaire. J’encaissais, je morflais, mais plus j’avais mal, et plus j’étais violent, plus incisif. Et je ne cessais que lorsque mon adversaire fut à terre, battu presque à mort. Je vis le sourire satisfait de celui qui m’avait entrainé là dedans. Je fus leur nouveau champion. Ce fut le début de ma carrière. Une carrière dont on ne parle pas. Dont on tait les marques et les dégâts. Les cicatrices, les coups, les dégâts furent légion. Mais ce corps autrefois frêle, se transformait. Bientôt les muscles remplacèrent mes membres maigres. La rage comme motivation, j’étais capable d’aller loin. Trop loin. « DIMITRI. Ca ne va pas ! Tu l‘as tué ! C’est le troisième ce mois ci. Je vais devoir te faire arrêter les combats. » J’étais furieux. Il venait de m’ôter le seul défouloir, exutoire qu’il me restait. Ce soir là il mourut lui aussi. J’ignorais qu’on m’observait depuis des mois. Un sourire dans l'obscurité. Tout changeait. En un instant.

Une famille russe cherchait un homme pour protéger leur fille et pour faire office de garde du corps il leur fallait quelqu’un de discret, qui n’avait rien à perdre et qui saurait se disperser dans la foule. Et surtout quelqu’un d’une extrême rudesse, d’un don pour survivre, d’une rage de vivre. Ils me proposèrent des compensations, me rapelant qu'il s'agissait d'un job.. J’aurais un lit, une chambre correcte, à manger, des vêtements propres. Et un entrainement. Ils m’apprirent tout sur tout. Toutes les façons de se battre, et de gagner. Ils me cultivèrent afin que je ne fasse tache en société. J’apprenais vite. Je fus bientôt le parfait garde du corps. Ou presque. Leur fille s'attache à moi et pas qu'un peu. Elle devint la petite soeur que je n'avais eu.

Je m’entrainais encore et encore. Mais à l’âge de seize ans je décide de m’enfuir. Je veux agir par moi-même. Je veux choisir ce que sera ma vie. Ils me retiennent et m’avoue connaitre ceux qui m’ont abandonné. Leurs noms. Où ils sont. Ils ont mon attention. Je reste à leur service et finit par avoir plus d’une personne à répondre de son sang. Pour ma « petite soeur ». Je ne m’attache à personne, ne lie aucune amitié. Tout est très simple. La vengeance est le seul but de ma vie. Mais Anya s'attache à moi, plus qu'elle ne devrait et tombe amoureuse de moi. J'ai beau lui expliquer que je ne ressens pas cela pour elle, elle ne cesse de tenter. un soir elle m'avoue qu'elle a toujours été seule, à cause de sa famille. Quelques semaines après une longue discussion, elle tombe à nouveau amoureuse d'un riche russe. Elle part avec lui et me laisse là. Mais celui ci la quitte assez violemment et elle décide déménager, et de m'emmener avec elle. Elle me dit qu'elle m'aidera à retrouver ceux qui m'ont jeté comme un vieux jouet moisi dont on ne s sert plus. Elle ajoute que la jolie fille que j'ai cru aimer y est aussi. Pour elle, j'accepte, et peut être un peu pour la jolie brune rousse blonde.

Pseudo : Une pauvre victime d'une tomate..- Identité : un pingouin en fait. - Âge : Jsuis vieille xD- Type de personnage : scenario de marley.- Comment avez-vous découvert le forum ? Par marley mais il est connu. - Quelle sera votre fréquence de connexion ? Minimum une fois par sem, maximum vous voulez pas savoir (a) xD- Comment définiriez-vous le forum, là, à chaud ? Très joli.